Apprentissage de la zoophilie (2)
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: petikokin, Source: Xstory
... et couchée
Le lendemain, me réveillant nue dans mon lit, voyant mon chien couché, sur sa couverture chiffonnée, dans ma chambre, je réalise que je n’ai pas rêvé. Mon fantasme était devenu réalité... Je m’étais faite saillir par mon chien... Cette réalité a tourné toute la journée dans ma tête... J’étais, à la fois heureuse et honteuse.
J’avais honte. À vingt ans et demi, j’aurais pu « sortir » plus souvent, avoir quelques aventures. J’aurais pu me laisser draguer par un garçon de mon âge. Bref, j’aurais pu avoir une activité sexuelle « normale »,
Étant un peu « casanière », je n’aimais pas trop sortir. Mes premières expériences avec des garçons s’étant soldées par des échecs, je ne me laissais pas approcher. Pour éviter tout conflit avec mes camarades de travail, je ne voulais pas partager des moments intimes avec un employé ou un client de la ferme.
Avant de connaitre Wolf, me donner du plaisir seule me convenais très bien.
Mais, me faire saillir comme une chienne me laissait un gout « amer » dans ma tête. J’avais honte d’en être arrivée à ce résultat. Ma conscience me reprochait cet acte. Les remords hantaient mes soirées. Je me sentais humiliée, déshonorée, indigne d’appartenir à l’espèce humaine...
Malgré cela je ne pouvais pas oublier ce merveilleux moment.
Avec mon chien, me faire lécher les seins, la chattes et les autres parties érogènes de mon corps, avoir un premier rapport sexuel complet j’ai découvert d’autres plaisirs, d’autres façons de ...
... jouir.
Pendant près d’un mois, nos « relations » se sont limités à des caresses, quelques léchages, une « branlette » ou deux.
Le temps passant, scrupules, appréhension, pudeur, inquiétude, hésitation s’estompaient.
Le soir venu, avant de nous séparer pour dormir, je caressais bien sagement mon amant canin, surement avec plus de douceur que d’habitude...
Je m’endormais en me promettant de recommencer...
Un soir, je reste nue à la sortie de la douche. J’attrape le tube de lait. Me voyant faire, Wolf manifestait sa joie. Aussitôt, je me mets à quatre pattes. Je dépose quelques gouttes de lait par-dessus mes épaules. Aussitôt, il me monte dessus, et me donne des coups de reins. Je sens son pénis se raidir, commencer à écarter mes lèvres intimes. Très vite, il s’enfonce dans mon vagin. Ses coups de reins sont plus rapides, plus forts. La pénétration est plus profonde. Des décharges électriques parcourent tout mon corps.
Je sens son nœud gonfler à l’entrée de ma vulve. À demi inconsciente, je reste sans réaction tout en savourant mon plaisir. En longues, chaudes et puissantes giclées, mon amant canin vide sa semence dans mon réceptacle vaginal. Son knot distend mes chairs intimes.
Le calme revenu, retrouvant mes esprits, j’allonge mes jambes pour me poser à plat ventre sur la couverture. Me sentant tirée en arrière, je réalise que j’étais collé à mon chien. Nous étions soudés l’un à l’autre par nos sexes... Pendant quelques secondes, effrayée par cette situation, ...