Apprentissage de la zoophilie (2)
Datte: 27/03/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: petikokin, Source: Xstory
... me lécher la figure.
Il savait ce que j’avais envie de lui faire et ce que je voulais qu’il me fasse. Son pénis sortait de son fourreau. Il lui donnait quelques coups de langue puis me regardait d’un air implorant, la bouche ouverte, la langue sortie, le souffle plus court, plus rapide.
Une telle manifestation de joie me confirmait que le chien aimait avoir du plaisir en ma compagnie, comme j’en avais avec lui.
Outre les caresses, de temps en temps, je le masturbais jusqu’à ce qu’il éjacule. J’étais fascinée, subjuguée à voir son pénis se transformer.
Ayant déjà vu des chiens s’accoupler et rester « collés ». Je rêvais, de me retrouver, un jour, dans une telle situation.
Nos « relations » devenant de plus en plus « intimes », je voulais aller plus loin. Je voulais que Wolf me prenne comme une vraie chienne. Je voulais avoir de vrais rapports sexuels avec lui. Je voulais être sa femelle toujours en « chaleur ». Je voulais avoir toujours plus de plaisir, jouir encore plus...
Mais c’était un fantasme. J’avais un peu honte d’avoir de telles pensées. Mais je ne savais pas comment faire pour que cela devienne réalité.
En me léchant les doigts, j’avais goûté son sperme et autres « liquides séminaux ». Au début, je n’appréciais pas trop. Avec la pratique, je trouvais une saveur agréable à cette «liqueur ».
Voulant aller toujours un peu plus loin, j’avais trouvé une « technique » appréciée par nous deux pour avoir plus de plaisir.
Pour éviter de ...
... laisser des traces ou de faire des tâches sur la literie, c’est sur sa couverture, un peu usagée mais propre, étalée sur le sol que nous pratiquions,
Complètement nue, caressant tout mon corps, je mettais des gouttes de lait concentré sur les parties que je voulais faire lécher par mon chien. Sa langue râpeuse me procurait des orgasmes à répétition. Quand il la passait entre mes lèvres vaginales pour aller chercher sa « friandise », mélangée à ma jouissance, dans mon vagin, j’atteignais l’apogée de la jouissance.
Retrouvant mon calme, je le masturbais.
Nue, je m’allongeais sur la couverture, un coussin sous la tête. Wolf, debout, parfois couché à côté de moi, il savait ce que nous allions faire. Il attendait mes caresses. En demi érection, son pénis sortait de son fourreau. Quand je le prenais en main, il manifestait son plaisir en me léchant la figure ou les seins.
Cette position était « confortable » pour nous deux.
D’une main, je le masturbais, de l’autre, je me caressais l’entre jambe, excitais mon clitoris. Je pouvais voir, et sentir dans ma main, la montée de la tension dans son sexe.
Quand il éjaculait, je recueillais son sperme dans un verre en plastique. Wolf se léchait le sexe jusqu’à ce qu’il se « dégonfle » et rentre dans son fourreau. Moi je finissais de me branler pour atteindre rapidement un orgasme.
Suivait une période de calme. Je félicitais mon ami pour le plaisir qu’il m’avait donné.
Je gouttais sa semence diluée dans un peu d’eau ...