1. Voir et être vu. Et plus si affinité, 1


    Datte: 26/03/2019, Catégories: 2couples, couplus, voisins, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... l’entrée de la grotte humide et la fait pénétrer jusqu’à la garde. Pas de doute, l’endroit est largement lubrifié pour si bien accueillir ce bel organe. Lou ne dit rien mais le plaisir se lit sur son visage, les yeux fermés, la bouche ouverte comme si l’air venait à lui manquer. Mais cela ne dure pas car Marc la baise avec vigueur, les mains sur ses hanches pour mieux la posséder. J’entends clairement le choc des fesses sur le bas-ventre avec ce clapotis si caractéristique des bonnes bourres. Ils sont à quelques mètres de moi et j’ai peur de me faire remarquer, aussi je ne bouge pas alors que je sens ma verge se durcir et se dresser dans mon pantalon.
    
    — Oh, chéri, c’est bon… Ne t’arrête pas… Je te sens bien… Je t’aime… Oui, plus fort… Je viens…
    
    Le spectacle est torride. Marc va de plus en plus fort. Ils sont si proches que je peux voir ses couilles battre le rythme de son mouvement. Il crie :
    
    — Je ne peux plus me retenir, je vais jouir.
    
    Lou lui répond :
    
    — Attend, crache sur mes seins.
    
    Et elle se positionne pour que le sperme de son mari gicle sur sa poitrine. Dans un cri, Marc éjacule son jus que Lou étale consciencieusement tout en prélevant quelques gouttes avec un doigt qu’elle porte à sa bouche pour le lécher avec gourmandise.
    
    Après quelques instants, ils s’embrassent tendrement et se dirigent vers leur maison. Je peux enfin bouger et, après avoir rangé mon matériel, je rentre chez moi, avec l’espoir que Lise ne dorme pas encore car tout cela m’a ...
    ... bien excité. Malheureusement, je suis resté comme un couillon avec mon désir. C’est à la main que j’ai été contraint de me soulager. Comme je me sentais coupable de voyeurisme, je n’ai pas osé parler de cela avec mon épouse.
    
    Quelques jours plus tard, en rentrant du travail, je rencontre Marc dans le train de banlieue. Nous bavardons de choses et d’autres et bien sûr, nous commentons la météo qui continue de nous prédire du beau temps. À un moment il dit :
    
    — Au fait, cela vous a plu l’autre soir ?
    
    Pensant qu’il veut parler de mes observations astronomiques, je réponds :
    
    — Oui, le ciel était idéal, sans brume.
    
    Mais il me coupe :
    
    — Non, je ne parle pas de cela. Je pense plutôt à ce qui se passait dans mon jardin.
    
    Alors je me sens comme un coupable pris sur le fait :
    
    — C’est-à-dire… Euh… Eh bien…
    — Ne soyez pas gêné. Nous savions que vous regardiez. Alors, qu’en pensez-vous ?
    — Je suis confus, mais je n’ai pas pu m’empêcher de regarder et il faut dire que c’était tout à fait charmant. Mais je vous promets de ne plus faire le voyeur.
    — Non, non, ne vous excusez pas, au contraire, ma femme et moi vous remercions de votre présence discrète et attentive. Si vous me promettez de garder un secret, je vous explique.
    — Bien sûr, je suis une tombe.
    — Eh bien voilà. L’été dernier nous avons découvert tout à fait par hasard le plaisir que procure l’exhibitionnisme. Attention, très soft. Toujours dans des lieux privés et avec la certitude, que le ou les voyeurs ne ...
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