1. Voir et être vu. Et plus si affinité, 1


    Datte: 26/03/2019, Catégories: 2couples, couplus, voisins, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, intermast, Oral 69, pénétratio, fsodo, entrecoup, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... les doigts à explorer son sexe et caresser son clitoris. Nos paroles nous excitent encore plus que nos gestes.
    
    Mais le film avance et notre propre spectacle nous inspire. La seule position qui nous permette de nous admirer sur l’écran tout en profitant de nos sens à vif, est la levrette. Je besogne avec ardeur ma maîtresse alors que sur l’écran c’est elle qui se baise sur ma queue. Le rythme est identique et, si le son du film était meilleur, je suis sûr que nous pourrions entendre le même clapotis humide de mon ventre contre les fesses de Lise. Mais les acteurs ralentissent et la femme se penche sur son mari pour lui dire quelques mots à l’oreille. Je décide de profiter de cette situation pour provoquer Lise. Je me retire de son vagin, la laissant insatisfaite et lui dis doucement à l’oreille :
    
    — Dommage que l’on ne puisse pas entendre ce qu’elle lui dit. Mais vu la position qu’ils prennent, on peut l’imaginer. Qu’en penses-tu ?
    — Je ne sais pas, peu importe, viens, ne t’arrête pas, ne me laisse pas comme ça.
    — Non, non. Je veux que tu imagines ce qu’elle a bien pu lui dire.
    — Sûrement qu’elle le voulait dans son anus.
    
    Je me penche pour lécher son œillet, introduisant un, puis deux doigts que je fais tourner et osciller dans son conduit. Elle se cabre et vient au-devant de mes caresses, comme la femme s’encule à l’écran. Alors je m’arrête et dis :
    
    — S’il te plait, dis-moi ce qu’elle a pu lui dire.
    — Tu me fais du chantage dans un moment pareil. Bon d’accord, ...
    ... elle a dû dire « viens, prends-moi par derrière »
    — Non, non, ce devait être plus explicite, plus cru.
    — Salaud, elle a dû dire « viens jouir dans mon cul ».
    — Bien et toi maintenant, que veux-tu ?
    — La même chose.
    — C’est à dire.
    — Salaud. Oui, viens me prendre par le cul, je veux sentir ton dard dans mon fondement. Oui, « ENCULE-MOI ».
    
    Bien sûr, j’obéis et dans l’instant mon gland trouve le chemin, dilate encore un peu plus l’œillet et trace le passage de la hampe. Lise participe au mouvement et je la travaille avec force, comme un forcené, m’agrippant à ses hanches pour la plaquer contre moi. Dans le film, nous sommes près de la fin, aussi je le mets sur pause car je veux que nous jouissions de concert, artistes et spectateurs. Mon enculée se démène avec force et, petit à petit, je sens mon jus qui monte. Alors je relance le film et dans un accord presque parfait, je jouis comme dans la télé. Je vois mon sperme qui coule le long de ma queue dans un gros plan que Marc a fixé en zoomant, mais ce qui me satisfait le plus, c’est ce que j’ai sous les yeux. Ma queue qui ramollit glisse doucement hors du cul de Lise, laissant son œillet dilaté, duquel s’écoule lentement ma semence. Je reste immobile, le regard fixé sur ce spectacle qui pour moi est le summum du plaisir. Il faut un bon moment pour que le conduit se vide, laissant des coulées blanchâtres dans la fente de ma maîtresse et finissant par goutter sur le drap de lit. Alors seulement l’œillet se referme montrant ...
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