1. "Pas touche !" (1)


    Datte: 26/03/2019, Catégories: fh, hagé, médical, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, nopéné, hplusag, h+medical, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... Vous savez, j’ai l’habitude de ce type de réaction auprès d’hommes comme vous… ne vous inquiétez pas, je ne suis pas choquée…
    
    Et toujours en me regardant avec un air ferme et pourtant si doux…
    
    — Je comprends que vous ayez des pulsions…
    
    Je m’attendais à être réprimandé, voire traité brusquement et d’une façon plus distante… Je savais que je m’aventurais dans une voix sans issue… qu’une aussi jeune femme avait d’autres préoccupations que de prendre en compte la libido d’un vieux monsieur comme moi… aussi je me mis à détourner mon regard de façon un peu honteuse…
    
    — N’ayez pas peur, vous avez le droit de me regarder.
    
    Je lui obéis comme un élève attentif et elle me gratifia d’un ravissant sourire.
    
    — Je ne veux pas que vous me touchiez… mais si vous le voulez, vous pouvez me regarder…
    
    Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir car je devinais un sens particulier à ses propos qu’elle m’exprimait d’une façon un peu solennelle. Depuis mon geste à la dérobée, je n’avais pas dis un mot et j’avais l’impression que j’avais la gorge si sèche que je n’aurais pas pu, de toute façon, parler.
    
    — Qu’est-ce qui vous plaît le plus en moi ?
    
    Et devant mon silence toujours aussi gêné :
    
    — Est-ce que vous voulez que je vous le montre…
    
    Bien sûr, il n’y avait pas besoin d’en dire davantage et elle connaissait à l’instant l’objet particulier de mon désir…
    
    Je lui répondis par un sourire que je voulais lui retourner comme un compliment et où je devinais l’expression ...
    ... d’un puissant désir enfantin. Pendant un bref instant, je crus revivre mes premiers émois d’excitations sexuelles, lorsque j’étais encore enfant, provoqués par la vision du postérieur, moulé dans une jupe légère, de la tante qui s’occupait quelquefois de moi et, plus tard, par les fesses plus menues et fermes de ma jolie prof d’anglais. Mais je trouvai désormais la force de lui répondre…
    
    — Oui, j’en ai très envie.
    
    Elle n’avait pas besoin d’une réponse aussi longue, il suffisait d’observer mon regard qui devait briller de ce désir qui soudainement devenait avouable !
    
    — Maintenant ?
    
    On peut dire qu’après cette précipitation calculée avec laquelle elle avait su répondre à mon désir, elle semblait savourer son pouvoir à faire durer mon attente…
    
    — J’aimerais les voir maintenant !
    — … et vous croyez que je vais faire ça comme cela, gratuitement ?
    — Qu’est-ce que vous voulez ?
    
    D’un seul coup une pointe de méfiance vint s’insinuer en moi… et puis rapidement je me rendis compte qu’elle ne pouvait pas exiger grand-chose, au moins sur le plan financier. Mes ressources étaient confortables mais sans plus, et j’avais légué la plupart de mes biens à ma fille et à mon gendre qui venaient de se marier.
    
    — Symboliquement j’aimerais que vous me donniez un petit billet… je ne veux qu’une petite somme parce que je ne veux pas faire cela pour rien… et puis aussi… j’aime beaucoup les compliments…
    
    À cet instant, elle devait percevoir mes interrogations :
    
    — J’ai besoin ...