Sans le cul (1)
Datte: 26/03/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Tilia TV, Source: Xstory
Voici une petite histoire bien réelle.
Alors en voyage en Argentine, j’optai pour du couchsurfing en Patagonie. J’arrivai un peu tard le soir, ou même le début de nuit, après trois heures d’auto-stop. Mes hôtes, un Juliet et Juan, me firent une surprise : déjà deux couples d’autres couchsurfeurs étaient présents dans le petit appartement. Gabby et Max, un couple d’Australiens d’une vingtaine d’années, et Cécilia, argentine, et Vlad, russe, eux voyageaient ensemble, mais n’étaient pas en couple, il y eut une grosse incompréhension la première soirée. Il y avait également Marlon, un chien assez imposant et très affectif.
La première nuit se passa bien, un autre couchsurfeur vint avec un couple de Franco-Libanais. Et nous discutâmes tard. Passé les trois heures trente, nous nous mirent au lit.
Mes plans étaient de repartir tôt le lendemain, mais je me levai un peu tard et seul un bus allait à ma destination. Il partait vers huit heures du matin, beaucoup trop tôt ! Je décidai donc de rester une journée de plus avec la troupe !
Nous prîmes un petit-déjeuner tardif, comme d’habitude en Argentine. Aux alentours de seize heures, nous nous installâmes en bord de fleuve, maté, guitare et jouet pour Marlon. Nous prîmes le temps de nous connaître, et Cécilia et moi commencions à nous rapprocher. Profitant d’une absence de Vlad, nous lui demandâmes son type de relation avec lui et nous pûmes lever les doutes. Ils avaient eu une relation sexuelle, il y a six mois, mais ...
... voyagent seulement en amis. Cécilia étant célibataire, feu vert donc pour moi.
Cécilia était assez grande, un mètre octante facilement. Son côté punk et marginal m’attirait beaucoup. Piercings, petits tatouages, cheveux longs, mais rasés sur la moitié de la moitié du côté droit. Et des yeux verts tellement profonds et envoûtants. J’aimais son style. Et je ne lui cachais pas.
Nous rentrâmes le soir afin de préparer le repas. Juliet et Juan avaient prévu une abondance de nourriture. Nous les aidâmes à couper, cuire, ficeler, piller... l’ensemble des ingrédients. Cécilia et moi ne cessions de nous dévorer des yeux. Seul le chien Marlon ne devait pas comprendre la situation. Vlad réagissait bizarrement, car il était clair, pour lui Cécilia était « sa propriété ». Mais je me fichais pas mal de sa réaction.
Si la soirée d’hier fut mouvementée, celle-là moins. Je pris le numéro de Cécilia, et nous nous promîmes de nous revoir. Vers une heure, elle alla fumer sa cigarette seule à l’extérieur. Je lui envoyai un message rapidement :
— On dort ensemble ?
— On ne peut pas, il y a trop de monde dans la pièce.
Car j’ai oublié de préciser : nous dormions tous dans la même chambre.
Je lui répondis :
— J’ai dit « dormir » pas « baiser » !
— OK.
Un sourire de satisfaction s’afficha sur mon visage.
Trente minutes plus tard, chacun gagna son lit, moi timide, je n’osai rejoindre la belle Cécilia. Au moment d’éteindre la lumière, j’entendis sa voix si douce :
— Tu ...