1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. Camping à la ferme (2/2)


    Datte: 25/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... pourquoi je me sens attirée par ce pieu, je sens que je mouille, ma bouche et surtout ma langue se met en marche du gland aux couilles, montant et descendant.
    
    • Tu aimes, petite pute.
    
    Je le lâche et je redresse ma tête.
    
    • Oui, Paul.
    
    • Tu vois, elle commence à être à ma botte, simplement en me suçant quesque ça va être quand je lui défoncerai la chatte.
    
    Je reprends mon travail sur cette queue, j’ai du mal à couvrir toute la surface sans compter ses boules impossibles à avaler.
    
    • Tu en veux, dès que tu es prête place toi comme tu aimes, je suis à ton service.
    
    J’ai dit que j’aime baiser en levrette, je pivote me mettant dans ma position favorite sans me rendre compte que je vois Claude pleurer.
    
    Il est attendrissant, mais quand je baisse les yeux sur mon doigt portant mon alliance, je me souviens qu’il avait prévu de le sacrifier, j’enlève mon alliance que je jette à ses pieds.
    
    • Ne fais pas ça chérie, je ferrais ce que tu veux.
    
    • Ferme ta gueule, sinon tu vas me sucer, tarlouze.
    
    Je sens qu’il se place et extraordinaire, il entre en moi me faisant jouir dès que son gland touche mon clito.
    
    Pendant presque une heure, il me chevauche, je prends mon pied comme jamais, il me prend par les cheveux tirant dessus comme sur des rennes, il finit par m’achever quand il éjacule son sperme débordant de moi.
    
    Il semble satisfait et moi, je dois reconnaître que je jouis presque en continu.
    
    Je me verrais bien vivre avec un tel sexe tous les jours à ma ...
    ... disposition, mais les conditions de vie que Paul semble s’imposer sont loin des canons de la vie de couple que je suis capable de supporter.
    
    • On va mettre ton mec dans la cage où j’enferme Brutus, les soirs d’orage, quand celui d’hier est survenu très violant, je suis venu l’enfermer, il a horreur du tonnerre, avant que je construise sa cage, une fois, j’ai mis deux jours avant de le retrouver.
    
    C’est là que j’ai vu ce fumier, sortir du poulailler, alors que les premières grosses gouttes tombaient, allant même me voler mes tomates.
    
    Il détache Claude, je sens qu’il a envie de se rebeller, mais Brutus qui c’est redressé devant sa porte l’en dissuade, il y a deux chiens en lui, celui qui dort non loin de son maître et l’autre, se réveillant montrant facilement les crocs.
    
    • Reste à quatre pattes, tu avances vers le coin de la grange, tu vas découvrir ton nouvel univers pendant que je vais m’occuper du petit cul de ta femme, je crois qu’elle a apprécié le traitement que je viens de lui faire subir et je suis sûr qu’elle en redemande, pas vrai ma poule.
    
    • Oui, monsieur Paul.
    
    • Simplement Paul, poupée, on est assez intimes maintenant pour nous appeler par nos prénoms.
    
    • Tu es devenue folle Julie, baiser avec ce gros dégueulasse, après il faudra te désinfecter.
    
    • Brutus.
    
    Le chien qui s’était recouché grogne en montrant ses crocs, la cage est là et Claude y pénètre, elle est à la taille du chien, mais il est dans l’impossibilité de se tenir debout.
    
    • Julie, ...