Mes vacances imprévues avec Muriel - Histoires de Sexe

Mes vacances imprévues avec Muriel

... ses grandes lèvres, puis sa langue se durcit et la pénétra comme un sexe miniature. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle jouisse.

La langue de Stéphane épongea les abondantes secrétions, puis elle remonta vers son clitoris. Il le titilla lentement, tournant autour avec science. Quand il vit qu’elle commençait de nouveau à haleter, il la prit dans la position du missionnaire. Son sexe entra dans la cavité vaginale comme dans du beurre. Il fit de rapides allers-retours en elle, puis, alors qu’elle venait de connaître un nouvel orgasme, il se retira et éjacula dans les poils sombres de sa toison.

— Gros cochon ! lui dit-elle en plaisantant. Finalement, je vais être obligée d’aller me baigner quand même !
— Eh bien je t’accompagne, répondit-il en lui prenant la main et en courant vers les vagues.

Dans l’eau, ils se blottirent l’un contre l’autre et refirent l’amour une deuxième fois. C’est épuisée, mais heureuse que Muriel rentra chez elle vers 1 heure 30. Ses deux enfants dormaient à poings fermés. Finalement, cette seconde semaine de vacances qu’elle redoutait serait la meilleure, et de loin…

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À la demande leur mère, les enfants étaient allés voir si la boîte aux lettres ne contenait pas de courrier. Ils revinrent en brandissant une enveloppe blanche marquée au nom de leurs parents.

— Maman, il y a une lettre ! dit le plus petit.

Un peu surprise, Muriel déchira l’enveloppe et sortit le papier qui ...

... se trouvait à l’intérieur. C’était un papier à en-tête de l’agence qui leur avait loué l’appartement. Il comportait le texte suivant :

Elle regarda l’invitation, incrédule. Jamais elle n’avait entendu parler de ce tirage au sort et elle se souvenait de la question de Stéphane et du fait qu’il lui avait dit de surveiller son courrier. À n’en pas douter, c’était lui qui était derrière ce lot tombé du ciel.

Dans l’après-midi, elle retrouva Stéphane à la plage. Comme il en avait désormais pris l’habitude, il s’asseyait à quelques mètres et attendait que les enfants soient partis pour venir auprès d’elle. À peine s’était-il installé qu’elle lui demanda :

— Dis-moi, c’est toi cette histoire de casino ?
— Ah ? Tu as reçu une invitation ? Moi aussi…
— Non, allez, ne blague pas ! Tu as loué dans la même agence que moi ?

Il éclata de rire.

— Bon, ça va… Mon invitation ne fait pas trop faux…
— Pourquoi au casino ? Tu veux m’emmener jouer ?
— Parce que c’est interdit aux mineurs ! Tes enfants seront obligés de rester à la maison…
— Oui, mais je ne sais pas si je vais oser les laisser…
— Ah bon ? Et quand tu prends tes bains de minuit, tu ne les laisses pas ?
— Pas toute une soirée…
— Oh, ils sont grands… Et puis tu peux peut-être demander à tes voisins de les surveiller un peu…
— Tu as raison, dit enfin Muriel. Alors, on y va quand, à ce casino ?
— Demain soir, répondit Stéphane. Je passerai te prendre à 20 heures.
— Mais mes enfants n’auront même pas mangé !
— ...