Mes vacances imprévues avec Muriel - Histoires de Sexe

Mes vacances imprévues avec Muriel

... mari est parti ? demanda-t-il.
— Oui, ce matin…
— Bon, il ne reste plus qu’à caser tes enfants et je vais pouvoir m’occuper de toi, plaisanta-t-il. J’ai adoré notre baignade d’hier soir…
— Moi aussi !
— Tu es chiche de recommencer ce soir ? À minuit… Tes enfants dormiront.
— Ça ne va pas ! protesta Muriel.
— Tu as peur de te faire violer par un inconnu dans l’eau ?

Elle éclata de rire. Elle adorait ce genre d’humour et se retourna enfin vers lui.

— C’est dommage, dit-il. J’aimais bien regarder ton cul… Remarque, tes seins sont magnifiques, je n’y perds pas…
— Mais tu as fini, espèce d’obsédé ? protesta-t-elle.
— Oui, je suis un obsédé et je le revendique ! Et toi ? Ose me dire que tu n’aimes pas le cul après ce que nous avons fait hier soir ?
— Mais hier, tu m’avais fait boire…
— Ah oui ? Et là, tu n’as pas bu ? demanda Stéphane en montrant à Muriel les pointes de ses seins durcies. Pourtant, tu n’es pas insensible ?

Muriel éclata une nouvelle fois de rire. Décidément, il avait l’œil, le bougre ! Elle le laissa caresser ses seins, jetant tout de même un regard inquiet dans la direction dans laquelle étaient partis ses enfants. Rien à craindre de ce côté-là… Il se pencha vers elle et déposa un baiser furtif sur ses lèvres.

— J’ai envie de te caresser, dit-il. Viens, on va dans l’eau !
— D’accord, répondit-elle, excitée par son baiser.

Elle se leva et le suivit discrètement. Un vent de terre s’était levé et aplanissait les vagues. C’était idéal pour ...

... rester tranquillement dans l’eau, même si elle était un peu plus froide. Muriel se mouilla rapidement et Stéphane la suivit. Ils avancèrent jusqu’à ce que l’eau recouvre leurs corps, puis il se rapprocha d’elle.

Elle sentit ses mains se poser sur ses hanches, remonter vers sa poitrine et palper ses seins. Ils s’étaient installés un peu à l’écart des autres baigneurs, et les enfants de Muriel ne pouvaient pas la voir de l’endroit où ils se trouvaient.

— Tu es joueuse ? demanda soudain Stéphane.
— Assez ; pourquoi ?
— Prête à relever un défi ?
— Ça dépend…
— Je parie que tu n’es pas chiche de retirer ton bas de maillot et de me le donner…
— Ça ne va pas, non ? Et pourquoi ferais-je une chose pareille ?
— Parce que j’ai envie de te doigter dans l’eau, lui répondit-il comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

Décidément, cet homme était déroutant. Il était courtois, bien élevé, toujours à l’écoute des problèmes que lui exposait Muriel ; et puis, il était capable de sortir une chose pareille au moment où on s’y attendait le moins ! Finalement, elle adorait ce genre de personnage plein de contrastes, un peu comme elle…

— Et que gagne-t-on en relevant le défi ? demanda-t-elle coquine.
— Le droit de masturber l’autre…

En essayant de ne pas trop se faire remarquer, elle fit glisser son maillot de bain jusqu’à ses chevilles, le récupéra et le tendit à Stéphane. Il l’attrapa et fit semblant de le jeter au large, mais ce n’était – une fois encore – qu’une ...