Mes vacances imprévues avec Muriel - Histoires de Sexe

Mes vacances imprévues avec Muriel

... son genou, puis remonter vers ses cuisses. Stéphane sentait le grain de sa peau très douce, signe qu’elle était parfaitement épilée, et il avait envie d’elle. Ce simple contact tactile commençait à provoquer une érection que son pantalon de toile légère ne dissimulait guère.

Il vit que les yeux de Muriel plongeaient régulièrement vers son entrejambe et que le changement de dimension de son sexe n’était pas passé inaperçu. Il voulut remonter plus haut sur ses cuisses et partir à la conquête de cette petite culotte qu’elle lui avait laissé deviner, mais Muriel était pudique. D’autres consommateurs les regardaient et elle l’arrêta aussitôt.

— Tu avais dit que tu ne me draguerais pas ! lui rappela-t-elle gentiment mais fermement en le tutoyant pour la première fois.
— Je sais, mais c’était avant que je te voie en pleine lumière, répondit-il. Sur la plage il fait sombre et je n’avais pas encore remarqué à quel point tu étais belle.
— Baratineur ! À en croire les mecs, toutes les femmes sont magnifiques, jusqu’à ce qu’ils les aient mises dans leur lit. Après…
— Ose dire que mes mains te laissent indifférentes, lui dit-il avec malice en désignant les pointes de ses seins qui avaient durci sous son débardeur.

Muriel rougit. Elle avait été trahie par son absence de soutien-gorge et il lui était difficile de nier. Stéphane lui demanda si elle voulait un troisième cocktail, mais elle sentait que sa tête commençait déjà à tourner un peu et elle n’avait pas l’intention de ...

... perdre tout contrôle.

— Non, je préfère que nous allions marcher un peu sur la plage.
— Comme tu voudras, répondit Stéphane, interprétant cette volonté de s’isoler comme un signe plus que positif.

Il alla régler les consommations et la rejoignit devant le bar. Pour traverser la rue, il la prit par la taille et elle accepta ce geste compromettant. Ils retournèrent sur la plage et se mirent pieds nus. Ils marchèrent au bord de l’océan dans lequel les vagues rugissaient en ce début de marée montante. L’Atlantique et son immensité s’étendaient à perte de vue et l’horizon était encore un peu éclairé par le soleil qui avait pourtant maintenant complètement disparu. L’écume de vagues un peu plus fortes éclaboussait de temps à autre leurs pieds nus et leur apportait un peu de fraîcheur. La pleine lune éclairait la plage.

Stéphane tenait la main de Muriel et il l’attira contre son torse. Il la pressa contre lui, voulant sentir la chaleur de ses seins contre son corps. Ses mains se posèrent sur ses hanches, tandis que sa bouche déposait un baiser léger à la base de son cou. Muriel frissonna. Elle était une mère de famille mariée, mais ce n’était pas non plus une oie blanche. Avec son mari, ils avaient même eu une sexualité plutôt débridée, mais les choses avaient progressivement changé, sans qu’elle sache réellement à quoi en attribuer la cause. Sans doute une accumulation de petites choses…

Quand il posa les lèvres sur les siennes, elle ne refusa pas son baiser. Sa langue se ...