1. Mes vacances imprévues avec Muriel


    Datte: 25/03/2019, Catégories: fh, inconnu, vacances, sauna, bain, noculotte, pied, facial, Oral pénétratio, double, Auteur: Game33, Source: Revebebe

    ... tarder et quand ils les rejoignirent, ceux-ci prétendirent les avoir cherchés un bon moment. Avec une mauvaise fois évidente, Muriel leur répondit qu’ils les cherchaient eux-aussi et qu’ils avaient dû se croiser sans se voir.
    
    Une fois la voiture débarquée, Stéphane traversa Royan et prit la direction du nord. La circulation était conséquente, mais moins que les jours où les touristes envahissaient les plages. Le parc zoologique n’était qu’à une quinzaine de kilomètres. Plus ils se rapprochaient de La Palmyre ; plus le temps s’arrangeait. La pluie avait complètement cessé et les nuages commençaient à s’effilocher dans le ciel.
    
    Ils se garèrent sur l’immense parking et pénétrèrent dans le grand zoo. Un des plus grands d’Europe avec plus de 100 espèces d’animaux, des aménagements très originaux et une superficie de près de vingt hectares…
    
    À l’entrée, les girafes réclamaient à manger, baissant leur long cou vers les nouveaux arrivants. Comme tout le monde, ils restèrent un moment à les regarder, puis ils suivirent le circuit fléché, se mêlant au flot de visiteurs. Devant les enfants, Stéphane restait très correct ; mais dès qu’ils prenaient un peu d’avance pour aller voir quelque chose, il ne se privait pas pour mettre la main aux fesses de Muriel. D’habitude, elle aurait hurlé au scandale ; mais avec lui, tout passait bien. Au contraire, chacun de ses gestes déplacés provoquaient une vague d’humidité entre ses cuisses.
    
    Après avoir fait le tour de toutes les espèces ...
    ... d’animaux proposés, les enfants voulurent aller voir le spectacle d’otaries. Ils les y amenèrent sans rechigner, mais une fois qu’ils furent installés, Muriel et Stéphane leur proposèrent de les laisser seuls pendant qu’ils allaient se rafraîchir au bar.
    
    En réalité, ils n’avaient nullement l’intention d’aller boire, mais ils avaient envie l’un de l’autre. Ils n’avaient pas besoin de se parler pour le savoir. Leurs regards en disaient assez long. Dès qu’ils furent hors de la vision des enfants, Stéphane embrassa Muriel de toutes ses forces. Il l’entraîna dans un coin plus isolé du parc, derrière un bosquet d’arbres, et se mit à la tripoter outrageusement. Ses mains malaxaient ses seins, les écrasaient presque, et elles remontaient sous sa jupe, offrant la vision de sa culotte en dentelle à tous les passants. Leur étreinte était animale, plus encore que celle des gorilles ou des chimpanzés dont les enclos jouxtaient l’endroit où ils se trouvaient.
    
    Ils s’enfoncèrent un peu plus dans le bosquet pour échapper aux regards. Les branches leur griffaient les bras, mais ils n’en avaient que faire. Ce qu’elle voulait, c’est qu’il la pénètre, qu’il s’enfonce en elle, qu’il la défonce, qu’il lui fasse mal !
    
    Stéphane baissa sa culotte jusqu’en dessous du genou et il la pénétra sans ménagement. Sa queue frappait le col de son utérus et elle mouillait tellement que cela coulait sur ses cuisses. Leurs pubis allaient à la rencontre l’un de l’autre, leurs bouches se dévoraient… Le coït ...
«12...141516...21»