1. Mon banquier


    Datte: 25/03/2019, Catégories: fhh, cocus, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, confession, couple+h, Auteur: Calin 13, Source: Revebebe

    ... son membre vers le sexe féminin.
    
    Mais, attrapant le sexe d’Armand, Mary le retient, arrête le mouvement, puis se tourne vers moi, l’œil toujours rivé à la caméra, elle me tend la main et me dit, me suppliant presque :
    
    — Chéri, tu veux bien qu’il me prenne ? Tu veux bien qu’il vienne en moi ?
    
    J’attrape sa main et la serrant de toutes mes forces, je lui fais signe que oui.
    
    Mary plonge alors son regard dans les yeux d’Armand et de son autre main, guide le sexe vers le sien.
    
    — Doucement, lui murmure-t-elle, je veux te sentir me pénétrer doucement.
    
    L’homme s’applique, son gland se pose contre les lèvres gonflées, lentement il pousse, le faisant pénétrer et disparaître, augmentant progressivement la pression. Le sexe glisse graduellement, il semble ne vouloir jamais s’arrêter, aller toujours plus profond dans le ventre chaud.
    
    Mary passe sa main libre autour de la taille de son compagnon pour qu’il vienne encore plus loin, plus près, elle avance son bassin d’un coup sec, reprend son élan et recommence. Elle veut le sentir buter au fond d’elle. Il l’a compris et à son tour la pistonne, d’abord en de lents mouvements et de plus en plus rapides, de plus en plus profonds, de plus en plus forts, presque violents.
    
    Mary se mord les lèvres, les narines tour à tour pincées et dilatées, elle manque d’air. Elle ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Elle tient toujours ma main. Elle me regarde reconnaissante, elle est bouleversante de plaisir et de ...
    ... désir. Elle murmure que c’est bon, qu’elle jouit, qu’elle aime être offerte ainsi, que c’est bon d’être prise, sans pudeur.
    
    Avec la caméra, j’essaie de saisir tous ces moments forts, du regard éperdu de Mary au sexe d’Armand qui la possède totalement, des soupirs de ma femme aux mains sur ses seins fragiles.
    
    Armand, que cette situation irréaliste surpasse, se concentre sur son sexe, pour faire durer ce ballet le plus longtemps possible. Il voit l’orgasme de la jeune femme monter progressivement, il sent ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s’évanouir.
    
    Il ralentit le rythme pour faire redescendre la tension, qu’elle reprenne son souffle. De nouveau, il plonge plus loin, plus profond, au fond du sexe, du plaisir. Les seins délicats de Mary dansent sous lui, il en attrape un, l’empaume, le pince, le malaxe, lui fait mal.
    
    Mary ne sait plus depuis longtemps où elle est. Son excitation la submerge, ses muscles lui font mal, ses sens ne répondent plus à son cerveau, elle n’analyse plus rien, à la fois offerte et active, possédée et possédante, cherchant à monter toujours plus fort dans le plaisir.
    
    Enfin, n’y tenant plus, elle pousse un cri déchirant lorsqu’Armand explose dans son ventre. Il continue à la pistonner, encore et encore, pour lui donner jusqu’à la dernière goutte de son sperme brûlant, pour se vider complètement dans son ventre délicat.
    
    Enfin, à bout de ...
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