1. I - Liaisons dangereuses (25)


    Datte: 24/03/2019, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    ... par le déferlement de sensations que je viens de vivre.
    
    Je sors de la salle de bains, Marion a remis une culotte et un t-shirt.
    
    — Si ça te dérange pas, je vais y aller, je dois me préparer pour ce soir, je dois voir des amis. Avec tout ça, j’y pensais même plus !! lui dis-je.
    
    Je lui mens, je n’ai strictement rien de prévu mais j’ai besoin de me retrouver seul.
    
    — D’accord, pas de problèmes ; me répond-elle.
    
    Je me rhabille et rassemble mes affaires pendant qu’elle reste debout à me regarder. Je m’approche d’elle.
    
    — Je te rappelle très vite pour qu’on se fixe un autre rendez-vous, enfin, si ça te dit bien sûr ;
    
    — Et comment que ça me dit !! me répond-elle en ouvrant ses yeux en grand et en me souriant.
    
    Je lui souris à mon tour. C’est terrible à quel point elle m’a retourné le cerveau en si peu de temps. Quand on s’est vu au bar tout à l’heure et encore il y a quelques minutes, c’est moi qui la faisais tilter, et là, c’est elle qui me fait fondre à chaque fois qu’elle me décoche un de ses sourires. Je la regarde quelques instants et je ne peux résister à cette envie magnétique de l’attirer à moi pour l’embrasser. Nous nous étreignons avec beaucoup de passion pendant un bon moment, et lorsqu’on s’arrête, de nouveau, je sens ma tête tourner et mon cœur s’accélérer. Faut que je parte, maintenant, sinon je ne partirais jamais.
    
    Je lui fais un petit sourire avant de tourner les talons et de prendre la direction de la sortie.
    
    — Et encore merci pour le téléphone, me lance-t-elle alors que je suis sur le palier.
    
    Je me retourne, elle tient sa porte, appuyée contre l’encadrement de celle-ci, et elle me sourit. Elle est si belle et sexy à la fois vêtue d’une culotte et d’un simple t-shirt... Il me faut une énorme motivation pour ne pas aller encore l’enlacer et coller mes lèvres contre les siennes une nouvelle fois.
    
    — Euh, de rien Marion.
    
    Je déboule les marches deux par deux et file à ma voiture.
    
    Florian, va vraiment falloir qu’on parle...
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