1. Le Ruisseau


    Datte: 24/03/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... les fesses pour faire sentir que mon envie est totale, mais je reste un peu, appuyé sur le bras, pour regarder Pascal qui fait de même. J’ai une envie folle de prendre la chatte qui m’attend et que je calcule depuis tant de mois, mais je suis encore plus avide de regarder ma femme avec un autre. Déjà la voir dans les bras de notre amie, échangeant avec elle un baiser qui ne peut pas n’être que subi, est une récompense.
    
    Elle garde obstinément les yeux fermés. Mais lorsque Pascal, qui est maintenant plaqué contre elle, pousse son mandrin dans le sillon des fesses, pointe la fente et pousse de ce mouvement si typiquement masculin, les paupières s’ouvrent. Nos regards se croisent l’espace d’un instant avant qu’elles se referment. Il lui faut quelques secondes pour revenir alors que je sais le mandrin avancer dans sa chatte. A-t-elle découvert, en me voyant face à elle, que ce n’était pas moi qui l’envahissais de ma queue ? Ou bien, elle savait mais croiser mon regard l’a mise mal à l’aise ? Je lui souris dans un signe de complicité et d’apaisement si elle doutait encore de mes envies, alors que je suis derrière Prune.
    
    Juste une tension des lèvres alors que tout son corps bouge sous la poussée de son amant. Il doit être bien au fond, callé dans cette grotte que je connais si bien, mais qu’à ma connaissance, aucune autre queue n’est venue visiter depuis notre mariage.
    
    C’est à mon tour de me placer. Prune s’est déjà entrouverte et je glisse en elle comme dans un fourreau ...
    ... parfaitement huilé. J’aime cette position. Marie et moi la pratiquons souvent le matin au réveil juste avant de nous lever pour retrouver les enfants. J’aime me coller contre les fesses, glisser ma queue dans une grotte qui n’attend que cela, empoigner ses seins pour les pétrir et la baiser doucement jusqu’à ce qu’elle jouisse, ce qui arrive souvent très vite, encore chaude de la nuit. Tout est pareil. Tout est différent.
    
    Prune se frotte contre moi. Je sens Pascal s’activer déjà dans ma femme. Chaque avancée de son mandrin pousse le ventre de Marie contre celui de Prune et moi je sens ma propre queue être massée par ce mouvement. J’adore ! Enfin mon rêve, une partie au moins, se réalise !
    
    Cette première fois est magnifique. Magnifique de délicatesse alors que je redoutais un peu ce moment, aussi bien pour la réaction de Marie, que la mienne qui rêvais mais ne savais pas vraiment comment le rêve deviendrait réalité. Rien de brutal. Rien de vulgaire. Deux femmes qui s’embrassent et deux hommes qui les prennent.
    
    C’est une houle. Une ondulation de ces corps étreints que deux queues avides provoquent. Sans nous en rendre compte, Pascal et moi nous nous sommes synchronisés. Il embroche ma femme, je recule. J’enfile la sienne, il recule.
    
    C’est bon, plaisir décuplé par la position. Mais la tension sexuelle de la soirée se fait sentir. J’ai tellement bandé que mes couilles n’ont qu’une envie, c’est de se vidanger du foutre qu’elles ne cessent de fabriquer depuis des heures. ...