La villa des culs brisés : Une téléréalité porno (5)
Datte: 24/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tchitchi, Source: Xstory
Johnny se dirigea vers un super marché. Il savait que l’épreuve était très inégale par rapport aux femmes, mais il s’attendait à ce qu’il y ait de telles différences. De plus, il passait sa vie à développer des techniques pour baiser des femmes le plus rapidement possible. Cette épreuve ne lui faisait pas vraiment peur.
Arrivé dans le super marché, il fit discrètement un tour de repérage. Il trouva la cible parfaite. Une jeune et jolie fille qui était probablement une étudiante. Elle n’achetait que des produits pas chers et en quantité. Il fit mine de regarder ailleurs et en passant à côté d’elle, il trébucha sur son caddie.
— Non, mais vous pouvez pas faire attention ! s’exclama-t-il.
— Désolé, je... Faites attention où vous marchez aussi ! Vous avez tout renversé !
Johnny fit un air étonné, puis regarda le caddie renversé.
— C’est vrai, pardon, je suis désolé, je suis un peu stressé en ce moment au boulot, je me suis emporté pour rien. Attendez, laissez-moi vous aider.
— Non, c’est bon, c’est pas grave, dit-elle en ramassant ses courses.
— J’insiste, vraiment, je ne suis pas comme ça d’habitude, je ne voudrais pas vous laisser une mauvaise image de moi. Laissez-moi au moins vous aider à porter vos courses.
L’étudiante resta un moment interloquée, regarda Johnny, puis sembla trancher devant le sourire charismatique de l’acteur.
— Écoutez, si vous insistez, d’accord, j’habite juste à côté en plus. Vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas ?
— Bien ...
... sûr que non, ça me fera du bien de penser un peu à autre chose qu’à mon boulot, tu es étudiante ?
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Angela, elle, n’avait encore trouvé personne. Ce n’était pas un enjeu primordial, et elle n’était pas très motivée d’utiliser ses points individuels, mais elle voulait tout de même faire l’épreuve par défi personnel. Elle chercha donc un joli café parisien, dont les tables étaient ornées de nappes blanches quadrillées de rouge, et elle y repéra un homme seul, pas trop moche. Elle s’assit en face de lui, quelques tables plus loin, et commanda un cocktail.
Elle commença alors un jeu de regard avec l’homme d’une quarantaine d’années, en costard et plutôt propre sur lui, une dégaine d’intello. Elle sourit quand elle vit qu’il la regardait aussi et ils finirent par se fixer plus longtemps. Elle vint alors à sa table :
— Bonjour, je ne vous dérange pas ?
— Pas du tout, que me vaut le plaisir de votre présence ?
— Vous venez souvent ici, non ? lança Angela, au hasard.
— En effet, mais je ne vous ai jamais vue ici, je me trompe ?
— Vous ne m’avez jamais remarquée, mais moi, je vous ai remarqué.
— Que voulez-vous dire ?
Angela se pencha alors sur la table et l’embrassa tendrement. Il ne réagit pas dans un premier temps, et puis finit par lui rendre son baiser.
— Eh bien, on peut dire que vous êtes directe.
— Tu n’as encore rien vu ! répondit-elle dans un sourire lubrique.
Elle fit alors mine de faire tomber l’élastique qui retenait ...