Ma cousine me donne un coup de main - Histoires de Sexe

Ma cousine me donne un coup de main

... c’est bien de regarder les filles passer mais tu n’as pas envie d’en aborder une des fois pour faire connaissance ? me propose-t-elle. Et peut-être que tu passes à côté de belles rencontres…

Je suis incapable de lui donner la moindre réponse. Elle connaît mes problèmes de timidité. Pour moi aborder une fille comme ça dans la rue c’est impossible. Mes petites amies je les ai toutes rencontrées soit à l’école soit au travail soit dans un club de sport mais depuis mon installation dans cette ville je ne travaille pas et je ne suis inscrit dans aucun club donc les rencontres sont difficiles pour moi en ce moment.

— Et moi aussi tu me reluquais, me fit-elle remarquer malicieusement. J’ai bien vu que tu plongeais ton regard dans mon décolleté…

Là j’ai changé de couleur. Elle avait bien remarqué que je la regardais différemment d’autrefois, que mon regard sur elle était devenu celui d’un homme sur une éventuelle proie et non plus celui d’un cousin sur sa petite cousine préférée.

— Ils te plaisent mes seins ? me demande-t-elle alors pour briser ce pesant silence.

Je ne sais alors plus où me mettre, ma cousine me met terriblement mal à l’aise avec ses questions mais oh que oui que sa poitrine semble imposante qu’elle me plaît d’après ce que j’en vois par son décolleté.

— Ça fait longtemps que tu n’as pas vu de près les charmes d’une fille… suppose-t-elle.
— Heu… Oui… En effet… J’avais du mal à m’exprimer tellement mon émoi étant grand.
— Tu veux voir mes seins ...

... ?

Elle me l’a proposé avec une grande simplicité seulement couverte d’une pointe de timidité dans sa voix, elle semble sûre d’elle. Je ne dis rien mais ce n’est pas l’envie de voir sa poitrine qui me manque. Elle l’a bien compris d’ailleurs et ôte son haut en le faisant passer au-dessus de sa tête, le pose sur le lit puis passe les mains dans son dos pour détacher son soutien-gorge qu’elle fait alors glisser le long de ses bras et qui rejoint son haut sur le rebord du lit. J’ai du mal à aller regarder sa poitrine, trop gêné en cela, c’est ma cousine et ce genre de choses ne se font pas entre cousins. Après un long silence elle me secoue en me disant avec sa voix de petite fille délurée :

— Bon alors tu regardes ?

Je lève les yeux, je tourne la tête et commence à admirer la poitrine de ma cousine assise à mes côtés et qui s’est tournée vers moi, une jambe repliée sur le lit, afin de se présenter de face à mon regard. Sa poitrine est imposante, lourde et blanche comme du lait. On la croirait sortie d’une peinture du 15ième siècle. Ses tétons tout roses, presque rouges semblent être comme des fraises posées sur une montagne de Chantilly.

— Tu en penses quoi ? me demande-t-elle presque inquiète.

Je suis incapable de répondre. Ma cousine se laisse tomber en arrière et s’allonge sur le dos en travers du matelas les jambes pendantes sur le rebord du lit. Mon absence de réaction et mon silence lui prouvent bien que son audace et que sa poitrine sont loin de me laisser de ...