1. Autres lieux, autres moeurs


    Datte: 22/03/2019, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, cocucont, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... je quitte ma cavalière. Quelques pas en arrière suffisent pour me « dessoûler ». Tous ces traits de lucioles qui dansent devant mes yeux se stabilisent, mais là-bas, déjà un peu sur le bord du groupe, un diadème rose m’attire.
    
    Il me suffit de quelques gestes pour enlever et cacher dans un recoin les bracelets que je porte. Me voici ombre dans le noir. D’autant plus anonyme que j’ai pris soin de ne porter que du sombre, même mon slip est noir de crainte qu’une fluorescence malheureuse ne le transforme en tache claire.
    
    Je m’avance vers le couple. Anne est bien dans les bras de Cédric.
    
    Le cerveau est une machine merveilleuse et à chaque lueur, il associe une partie du corps, corps d’Anne, corps de Cédric. Justement les anneaux lumineux semblent se rejoindre. Ceux du cou se tangentent. Ceux de la taille disparaissent par endroit, formant une ellipse imparfaite.
    
    Je suis émerveillé de ce jeu. Les silhouettes schématisées par ces lucioles sont vivantes. Je sais, sans le voir qu’Anne et Cédric s’embrassent. Je sais que les corps se frottent. Je vois que les mains de Cédric enveloppent les fesses de ma femme. Deux petits anneaux bleus bougent juste en dessous du large anneau rose de la taille. Même les lumières des chevilles semblent vivantes. Est-ce la poussée d’une cuisse masculine qui frotte un entrejambe féminin ?
    
    Le couple reste un instant presque immobile, si ce ne sont les mains de Cédric qui vont et viennent, des cuisses aux fesses. Il est évident qu’une des ...
    ... mains d’Anne est sur le cou de l’homme et doit caresser, un muscle, un lobe d’oreille, peut-être même que sa bouche participe à cette caresse.
    
    C’est extraordinaire. Extravagant, étrange, totalement saugrenu, mais cet éclairage si particulier permet toutes les interprétations. Des plus sages aux plus coquines. Je comprends maintenant la puissance de la suggestion, du fantasme que le cerveau construit autour de ces simples lueurs. Roby et Martine avaient raison.
    
    « Voir, c’est bien, mais c’est encore mieux d’imaginer à partir des lumières, qui sont comme les mots d’un texte séparés par des pointillés que l’imagination se charge de compléter. »
    
    Oh, là je ne rêve pas. C’est bien un bracelet rose qui s’immisce entre les deux corps, permettant de reconstituer les deux anneaux parfaits de la taille. C’est bien la main d’Anne qui, passant sous l’anneau bleu de la taille de son cavalier, va découvrir…
    
    Humm. Petit gémissement d’un homme qui sent sa queue en caresses.
    
    Bien sûr, elle vient de trouver le sexe de Cédric que j’imagine déjà, tendu, en pleine vigueur.
    
    Mais le couple n’en reste pas là. Je vois des bracelets se joindre. Manifestement Cédric a pris la main de ma femme, deux lueurs bleues et une rose, et l’entraîne avec lui. Je les suis discrètement. Ils se dirigent vers les chambres. Heureusement, des bâtons fluorescents ont été abandonnés dans certains endroits pour servir de repères. En plus alors qu’ils s’approchent de la piscine qui irradie sa lumière verte, la ...
«12...678...17»