Autres lieux, autres moeurs - Histoires de Sexe

Autres lieux, autres moeurs

... préliminaires. Elle sait qu’entre ses cuisses, doivent rester les traces de son amant, comme le sperme a laissé une odeur dans sa bouche.

Mais je ne l’écoute pas et plonge mon visage. Elle est crispée. Je lèche, je fais du bruit avec mes lèvres comme si je découvrais quelque chose.

— Tu es plus qu’humide. C’est gluant. Pas comme d’habitude. Quelle excitation… Coquine… Cochonne…

Je me relève et, plaçant mes cuisses sous les siennes, j’enfile mon mandrin dans la chatte gluante.

— Oh tu es grande ouverte… Et super humide… On dirait… Comme lorsque c’est la deuxième…
— Allez, viens mon Chéri. Prends-moi. J’ai envie.

Anne essaie de détourner mon attention. Mais bien sûr, je ne veux pas. Au contraire, je veux la faire avouer et qu’elle voit ma réaction.

— Anne, tu as fait l’amour. Ta chatte est pleine de sperme et maintenant je sais ce qu’est l’odeur sur tes lèvres. C’est celle du foutre. Alors ?
— …

Je la baise doucement. Ma queue glisse dans la semence de son amant et la liqueur de sa maîtresse. C’est bon. Excitant. Rarement je me suis senti si gros, si dur.

— Qui. Allez, dis-moi. C’est Cédric ?
— Oui, avoue ma femme dans un souffle.

Je continue ma baise régulière, profonde, douce, délicate.

— Ainsi c’est que tu appelles bavarder. Coquine, dis-je, soucieux de bien montrer que je ne suis pas en colère.

Et je reprends.

— C’est un bon coup ? Tu as eu du plaisir ?
— …

Elle hésite. Je l’embrasse sur les lèvres.

— Tu l’as sucé ?
— Oui
— ...

... Bien à fond ? Il est assez gros.
— Oui
— Allons, raconte-moi. Je veux tout savoir.

Il fait nuit, elle ne peut pas voir mon visage, mais le ton de ma voix et surtout que je continue de la prendre doit la rassurer. Mais j’insiste à nouveau.

— Tu sens le sperme. Alors ?
— Il a joui dans ma bouche.
— Oh, et…
— J’ai été obligée d’avaler. Il me tenait la tête entre ses mains.
— Vraiment. Il t’a forcée à le boire. Quel goujat !
— Euh, pas vraiment. Je me suis laissé faire.
— Pourquoi, allez, avoue. Cochonne.

Et j’accélère mes mouvements.

— J’étais excitée. J’avais envie. Oh, Franck excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a prise.
— Mais c’est normal. Il est beau garçon. Nous l’avons vu à l’œuvre. La soirée est très agréable. La danse. L’alcool. La nuit… Et après, raconte-moi.
— Il m’a léchée et il m’a prise.
— Tu as eu du plaisir. Tu as joui ?
— Oui. Excuse…
— Allons, ne te sens pas coupable, c’est toute cette ambiance.
— C’est vrai.
— Il a joui en toi. Il ne portait pas de capote.
— Non, il m’a dit qu’il avait fait un test il y a pas longtemps.

Toutes ces confidences m’excitent. Je bande depuis si longtemps. Anne sent bien que j’accélère. Elle m’emprisonne de ses jambes. Ses pieds sont des aiguillons sur mes fesses.

— Viens, mon amour, viens, dit-elle, alors que je sens monter de tout mon être le jus qui transporte mon sperme, mais aussi toutes les humeurs retenues depuis tant d’années.

Que c’est bon de jouir dans ces conditions. Imaginer que mon ...