1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (19/23)


    Datte: 22/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... ça. Louisa, va dans la cave, tu choisis un blanc et un rouge, j’ai du champagne au frais.
    
    • C’est drôle ma chérie, tu choisis toujours les vins des clients incertains dans leur choix, pour une fois ce sera pour moi.
    
    J’ai un peu peur, les rognons et moi ça fait deux, je dirais même mieux tout ce qui est abat de divers animaux, je n’en mange pas, deux choses.
    
    Fabrice a l’air tellement content de nous faire goûter ses rognons ne nous proposant rien d’autre, je ferme ma bouche l’ayant assez ouverte dans la journée pour satisfaire mon parchemin.
    
    • À table c’est prêt.
    
    • En entrée un petit carpaccio de saumon que je prépare et qui marine depuis des jours.
    
    Quand on vient dans un restaurant une fois par an comme moi, on a tendance à commander chaque fois la même chose, surtout dans ce restaurant près d’un torrent où la friture de truites en temps normal est un régal.
    
    C’est sûr, la prochaine fois, je laisserai faire le patron, les rognons de veau sont un régal.
    
    Ne perdons pas de vue que ce soir nous étions venues avec Martine pour parler des petits fours du vin d’honneur et le repas du mariage.
    
    Il est minuit quand tout est calé, le menu, notre estomac avec fromage et dessert.
    
    Mais le plus ennuyeux c’est que le blanc rouge et champagne, ont été multipliés par deux, nous sommes bourrés, inutile de penser la moindre seconde à retourner à Dijon pour moi ou chez Martine à Chazal.
    
    • Montons, vous allez rester à l’étage, nous avons une chambre d’amis, elle ...
    ... est prête.
    
    Ma chatte me démange toujours, est-ce l’alcool ou le parchemin ?
    
    Une fois douchée, je m’écroule sur le lit.
    
    Il n’y a pas de volet aux fenêtres du moins, ils sont restés ouverts, il fait jour quand j’ouvre mes yeux.
    
    Martine chante sous la douche, à l’extérieur le bruit d’un camion et la voix de Fabrice houspillant son apprenti me dit que ce midi il y aura friture de truites au menu.
    
    Je la rejoins, elle est de dos et ne m’a pas vu.
    
    Ayant dormi nue, je la rejoins me collant à elle, ma main contourne son corps et je lui mets trois doigts.
    
    Elle tourne sa tête et celle qui a été la première victime du parchemin me donne ses lèvres.
    
    Victime, c’est un grand mot, car si ce matin le feu en moi n’est pas complètement éteint, bien que s’il lui est dû, il est moins intense qu’hier.
    
    Elle ploie les genoux récupérant sa jouissance sur mes lèvres.
    
    L’eau coule sur nous, elle se retourne et nous nous embrassons à pleine bouche.
    
    C’est le baiser le plus profond que nous nous échangeons depuis que nous nous sommes retrouvées.
    
    Nos seins l’un contre l’autre permettent d’être en contact très serré.
    
    Mes mamelons sont en feu comme ma chatte.
    
    Elle me glisse des doigts et dès sa pénétration, je jouis, pas un orgasme, mais une bonne bouffée de plaisir qui me calme momentanément.
    
    Habillées nous descendons, la serveuse est là, dans la cuisine le camion étant parti. Fabrice s’en prend de nouveau à son apprenti et étant près de la porte, je comprends qu’il ...