Les aventures de Céline
Datte: 22/03/2019,
Catégories:
hh,
hbi,
hagé,
fagée,
hépilé,
fépilée,
sauna,
campagne,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
hféminisé,
Transexuels
Oral
hsodo,
portrait,
Auteur: Céline.T, Source: Revebebe
... ses cuisses, au lieu de l’avoir comme tout le monde. Je vais jusqu’à sa portière et lui dis de ne pas se gêner pour moi. Vous auriez dû voir le regard stupéfait du gars.
J’en reste là et je me dirige vers le chemin qui entre sous les arbres, le sentier reste hélas ! désertique, même le naturiste de salon ne se décide pas à quitter sa voiture. Il faut bien dire qu’en ces lieux particuliers, seuls des hommes se rencontrent, rarement des femmes s’y égarent seules. Au bout du chemin apparaît… une apparition ou presque. Un beau produit de nos îles, bien bâti, disons svelte et musclé, avec une jolie frimousse« si le reste est pareil… » et un beau sourire, rare en cet endroit.
Il m’aborde :
— Bonjour, Madame, c’est plutôt désert ici…
Et la conversation s’engage. Il aimerait rencontrer un couple mais c’est hypothétique en cet endroit. Après une dizaine de minutes il me complimente sur ma tenue et me dit qu’il a cru un moment que j’étais une vraie.
Bien sûr, il me précise que, comme les autres, il vient très rarement, ils le disent tous, surtout pour savoir si tu es assidue ou pas en ces lieux… Au cours de la conversation fort aimable, je glisse que je vais finalement aller le long du canal profiter du soleil, et on se sépare.
Je repars vers ma voiture quand, au détour d’un chemin, je retombe nez à nez avec lui, on échange à nouveau quelques mots et salut.
Je prends donc la direction du canal pour y faire quelques photos sur un petit espace de pique-nique de ma ...
... connaissance. L’endroit semble tout aussi désert, à l’exception d’un pêcheur à une cinquantaine de mètres, concentré sur sa canne… à pêche (pas l’autre). Je sors l’appareil et le pose sur le coffre de ma voiture. Et me revoilà à jouer les divas, j’enlève ma ceinture, puis ma robe et me voilà en sous-vêtements quasi allongée sur la table.
Au moment où je renfile ma robe, je sursaute en entendant quelqu’un près de moi, à quelques mètres. Je vous le donne en mille, c’est mon beau Noir qui vient de surgir du bosquet et qui s’excuse de m’avoir surprise. Il faut dire que, tout à mon demi-strip photographique, je ne guettais pas les environs.
Re-conversation, lui n’a pas trouvé de couple et moi, pendant que je l’écoute, je me rajuste.
Il me regarde des pieds à la tête et il me dit que je suis belle (ben oui, comme dans la chanson). Finalement en échangeant des banalités, je me rajuste et on marche dans le sentier d’où il a surgi, et il me répète à nouveau qu’il me trouve belle, et qu’il m’avait à peine vue en sous-vêtements, l’air déçu. Je m’engouffre dans la brèche et lui dis que cela ne me gêne pas d’enlever à nouveau ma robe, et je joins le geste à la parole.
Me revoilà à nouveau en tenue légère.
Lui :
— Je peux ? (Sa main se tend vers ma poitrine) C’est des vrais ?
— Bien sûr !
Il pose sa main et caresse doucement. Un bon point, je n’aime pas les ours. Puis il s’égare vers mes hanches. À ce point, je pose ma main sur le devant de son pantalon et fais un petit ...