Sale journée de comptables
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
Humour
Auteur: Patrick D, Source: Revebebe
... ?
— …
— Nadine, vraiment, je ne comprends pas…
— …
— Allons, bon, j’entends que vous sanglotez maintenant ! Franchement, il n’y a pas de raison… Vous savez, c’était loin d’être désagréable, votre main…
— …
— Mais, ne sanglotez pas de plus belle, voyons. Dites, Nadine, vous ne trouvez pas ça un peu ridicule, se parler ainsi à travers une porte ?
— Bertrand, je vous ai demandé de partir, s’il vous plaît !
— Mais enfin, Nadine, tout à l’heure vous étiez allongée sur le lit près de moi, ma présence n’avait pas l’air de vous gêner !
— Bertrand, je vous en prie, j’ai déjà suffisamment honte ! Pas la peine que vous me rappeliez ça !
— Honte ? Mais… je ne vois aucune raison d’avoir honte !
— Ah non ? Vous m’avez surprise complètement nue dans une attitude des plus intimes et vous trouvez qu’il n’y a aucune raison d’avoir honte ? Vous plaisantez, j’espère ?
— Vous le saviez que j’étais là, non ? Accessoirement, je vous rappelle que vous étiez même occupée à me masturber ! Au cas où votre mémoire vous ferait défaut !
— …
— Oh… et puis… arrêtez de pleurer comme une madeleine ! ça n’arrangera rien !
Ouh là là ! ma tête ! ça ne s’arrange pas non plus ! Et je sens qu’on s’enlise, là. J’ai comme l’impression qu’on n’est pas sortis de l’auberge.
— Bon, écoutez Nadine. Tâchons d’être réalistes, voulez-vous ?
— …
— Cessez de pleurer s’il vous plaît ! C’est agaçant à la fin !
— Bertrand, vous êtes un sans cœur !
Bon, je vais me masser les tempes un instant. Ça devrait ...
... aller mieux après. Parce que là, on s’enlise de plus belle.
— Nadine, écoutez-moi. Pourquoi, je ne dis pas que je me plains, loin de là, mais pourquoi diable étiez-vous occupée à me caresser tout à l’heure si c’est pour en faire une affaire d’État à présent ?
— Mais je n’en sais rien, moi ! Une pulsion, voilà ! ça a été plus fort que moi ! je ne sais pas ce qui m’a pris. Et puis vous dormiez ! Fin soûl, faut-il vous le rappeler ? Je n’ai jamais cru que vous vous réveilleriez !
— D’accord. Difficile à imaginer, mais admettons…
— C’est la vérité de toute façon !
— D’accord, d’accord. Calmez-vous. Et cessez de pleurer Nadine. Voyons les choses calmement, voulez-vous ?
— …
— Parfait, j’entends que vous vous calmez. Bon, Nadine, soyons réalistes. Et francs. D’accord ? Voilà, vraisemblablement, vous aviez tout à l’heure très envie d’une… comment dirais-je… distraction sexuelle. Et, quelle qu’ait été votre motivation, vous aviez déjà franchement entamé le parcours vers le but final, non ? Pourquoi, Nadine écoutez, nous sommes tous les deux adultes, pourquoi n’irions-nous pas au bout des choses ? Vous savez, sur le lit, je dois bien vous dire que je vous ai trouvée très attirante !
Qu’est-ce qui se passe ? Elle dit plus rien maintenant, j’entends plus rien…
Ah si, la clef, eh ben voilà, elle va ouvrir. Eh ! Eh ! bien joué Bertrand !
Ben merde alors ! Voilà qu’elle lance mes frusques dans le couloir ! Eh ! mais elle referme, cette conne, en plus !
— Mais Nadine… ...