1. L’homme, le noir, l’indien et les autres


    Datte: 19/03/2019, Catégories: Anal Gay Partouze / Groupe Auteur: Carpe-_-Diem, Source: xHamster

    J’ai rêvé toute la nuit que je partouzais avec plusieurs hommes, femmes et travestis et qu’à la fin je recevais mon offrande de sperme sur la figure, les seins, le ventre et les fesses.
    
    C’est dans cet état que je me suis réveillé ce matin. Il me fallait absolument évacuer la tension ; je décidai donc d’aller vers midi au Châtelet, d’abord dans une cabine de cinéma porno avec vitres pour voir et être vu, puis, une fois bien excité et les couilles pleines à déborder, au sous-sol d’une autre salle ou j’avais mes habitudes. J’espérais en fait que j’y retrouverais Claude, qui savait si bien me faire les seins et me sucer et qui sera ravi de la provision de foutre que j’ai en réserve.
    
    En attendant, je me prépare soigneusement. Je me rase les couilles pour qu’elles soient bien lisses et sensibles. Après, je me lave le cul. Je mets de la crème Nivéa sur ma bite pour qu’elle soit légèrement grasse et je me mets une noix de crème dans le cul pour le cas ou je me ferais doigter l’anus. Toute ce cérémonial de préparation me fait bander très fort et il me faut beaucoup résister pour ne pas me branler tout de suite. Je termine cette étape de préparation en enfilant ma bague de caoutchouc noir sur la base de ma bite et en entourant mes couilles d’un bracelet de cuir noir qui les met bien en évidence. Ensuite, je choisis ma tenue. Pour l’extérieur, puisque je dois aller travailler d’abord, c’est le costume cravate classique. En dessous, je choisis de mettre des bas noirs, un ...
    ... porte-jarretelles noir et un string de femme noir. J’adore le contact des bas sur mes jambes et du string sur mon sexe et mon cul. Ma bite et mes couilles sont à peine cachées par le string. Cela m’excite très fort.
    
    Onze heures du matin arrive. Si je pars maintenant, je serai au Châtelet à onze heures trente. C’est la bonne heure pour choisir une cabine avec une vitre à droite et à gauche, ce que je fait. Je m’installe, retire costume, pantalon, chemise, ne gardant que mes dessous noirs.
    
    Pour l’instant, la cabine de gauche est vide et l’occupant de celle de droite n’a pas ouvert sa fenêtre.
    
    Comme d’habitude, je zappe rituellement et dans l’ordre sur les films montrant les travestis ou souvent je retrouve mon préféré, un brésilien superbe avec un cul rond et très ferme, des seins très beaux avec des tétons longs et tendus et surtout une bite d’au moins vingt centimètres qui lui sert indifféremment avec des partenaires hommes ou femmes ou même autres travestis. Je l’ai vu de multiples fois et je ne m’en lasse pas. Quand il jouit et lance ses flots de foutre blanc, j’imagine que je les reçois et je jouis aussi.
    
    Après les travestis, je zappe sur les films montrant des noirs montés comme des dieux et fourrant des chattes blondes et des culs blancs de l****as en chaleur. Là aussi, je vois souvent mon préféré, un noir de près d’un mètre quatre-vingt-dix, cent kilos de muscles, des pectoraux qui lui font presque des seins de femme et une queue de plus de vingt-cinq centimètres de ...
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