1. Vacances en Normandie 2


    Datte: 19/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Ling79, Source: Hds

    ... âgé, mais sans doute le responsable de cette chasse donne son accord, mais en précisant : « ok, mais ne vient pas te plaindre après » et avec un sourire narquois, il se retire.
    
    Manifestement, jean est un peu inquiet, il essaie de me dissuader, mais têtue , je maintiens mon envie ; pour la nuit, il me conseille de me couvrir chaudement, et sagement, car dis-t-il, la soirée est souvent arrosée et je ne veux pas d’ennuis ; pour lui faire plaisir, je revêts un gros pull col roulé et une longue jupe portefeuille, épaisse, très loin de mes standards habituels. Le départ a lieu, bruyamment, tellement les hommes sont excités par cette ouverture, tous espèrent beaucoup de passage cette nuit.
    
    Après une longue marche sur le sentier bordant l’étang, nous arrivons à un monticule de terre ; à ma grande surprise, une fois la porte discrètement enterrée ouverte, je découvre un très large espace, finalement très bien aménagé, avec cuisine, tables, chaises et 4 couchettes. ; émerveillée, j’aide comme je le peux au rangement. Gabriel (le chef) me désigne alors une couchette et me dis qu’elle sera pour moi, les garçons se partageront les autres ; même si ses propos sont courtois, je comprends vite que cela ne lui fait pas plaisir ; de plus il n’arrête pas de me mater dès qu’il le peut. La nuit n’est pas encore tombée, c’est donc le moment de leur casse-croute : pâté , charcuterie, viande , fromage, tout est prévu, accompagnés bien sur de nombreux verres de vin, le tout achevé par café et ...
    ... pousse café, à savoir calvados, très certainement au-dessus des degrés normaux, disent-ils en riant. L’ambiance devient plus chaude ; sans doute oubliant ma présence ou peut être par provocation, ils racontent à tour de rôle leurs exploits dans cette cabane ; je découvre ainsi que je ne suis pas une première. Plusieurs fois, j’ai surpris le regard de Gabriel sur moi ; malgré ma volonté d’être peu attirante, je m’aperçois que mon pull est très ajusté sur moi, ma poitrine , tendue, est visible ; même sous l’épais tissu, mes seins sont bien arrogants et comme j’ai fait l’erreur de ne pas mettre de soutien-gorge, mes tétons sont bien visibles sous la laine. Heureusement une première alerte et mes chasseurs se postent autour des meurtrières, mais pour rien
    
    Alors que le temps s’écoule deux frères sont partis se reposer, ainsi que Jean ; je pourrai aller sur la dernière couchette, mais je n’ai vraiment pas sommeil et je feuillette une vielle revue ; Gabriel lui veille , scrutant l’étang ; j’entends des cris de canards et je m’approche pour essayer de voir les canards ; à mon arrivée, il ne bouge pas, occupant presque toute la totalité de la visière ; j’essaie de comprendre en lui demandant de m’expliquer pourquoi il ne tire pas puisque je vois des canards ; « ce que tu vois ce sont des canes leurres que nous élevons pour attirer les sauvages par leurs cris » ; ce faisant, il s’est collé derrière moi, pour me les montrer ; je réalise alors qu’il se frotte à moi, sans vergogne et ...