La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1093)
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... meilleure chose faite. Alors, c’est décidé, qu’elle y retourne au lieu d’aller chez elle se coucher. La nuit de l'extérieur le vieux Château semblait encore plus lugubre. Elle pousse doucement la porte d'entrée et avance dans le Grand hall. Refermant la porte elle voit une note.
" Merci... Un copieux repas et des vêtements secs vous attendent dans votre chambre... Je savais que vous reviendriez… Et vous savez, que je ne vous veux aucun mal…"
Sans un mot, Carole monte jusque dans ladite chambre, trouvant repas et nouveaux vêtements soit une fine chemise de soie et des dessous très sexy. Elle ne quitte pas sa chambre de toute la nuit et après avoir bien dormi, elle reste aussi toute la matinée dans son lit moelleux, réfléchissant à la situation. Ce n'est qu’en fin d'après-midi qu'elle descend se sustenter aux cuisines, où comme les autres jours un bon repas chaud l'y attendait. Elle se rend ensuite instinctivement dans le petit Salon Privé, comme si une voix intérieure lui commandait de s’y rendre. La pièce était telle qu'elle l'avait laissée, le martinet choisi toujours sur le trône, tout comme le feu dans l'âtre toujours allumé d’une impressionnante bûche de chêne et dont les flammes donnaient au Salon mille silhouettes qui se reflétaient sur les murs. Carole se déshabille complètement et ...
... invite son hôte à revenir s'occuper d'elle, cette fois en toute confiance, sans plus aucune peur, en se plaçant ensuite à quatre pattes devant l'âtre nue et les yeux bandés.
Mais cette fois pas de main baladeuse et douce sur son dos, mais une odeur du cuir, puis une caresse sur les paumes extérieures de ses mains des lanières de cuir. Elle tremble encore plus que la première fois, mais plus de peur mais d’excitation pure, sentant son bas-ventre s’humidifier grandement mais aussi percevant les lanières du martinet glisser doucement sur ses épaules, son dos, ses fesses, dans son entre-jambes. Un coup léger percute ses globes charnus, elle pousse un cri plus de surprise, que de douleur. Mais comme si l'être invisible avait eu peur de lui faire mal, plus rien ne se passa pendant un moment. Quand Carole ne put s’empêcher de dire :
- Je vous en prie, continuez..., clama-t-elle, s’il vous plait !
Et aussitôt un nouveau coup claque sur ses fesses, suivi à peu d'intervalle par deux autres. Carole gémit sous l'impact et la chaleur qui en résulte sur sa peau douce. Suite à ces trois coups l’excitant grandement, elle ressent à nouveau la douce main se poser sur son dos, et glisser vers sa croupe aux sublimes formes arrondies, puis plus doucement encore vers son mont de vénus, déjà tout humide…
(A suivre…)