Séduction délicate de la soeur de ma mère (17)
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... Après-demain on passe deux jours chez mes parents avec ce fameux Noël.
- Bah oui ça va être la merde Patrick ! Je me demande comment nous allons faire, on ne va rien faire au bon moment et on ne va pas dormir dans la même chambre chez tes parents quand même ! Ce seront deux jours de perdus plus le voyage, ça en fait trois. S’emporta-t-elle.
— Véronique, je serai dans ma chambre et toi tu dormiras dans la chambre d’amis avec tes garçons en principe donc dans la nuit…
— Mais Patrick, c’est un hyper risqué ce que tu proposes. Tu imagines un instant que l’un des deux se réveille ? et puis il y aura Mamie…Holala…tu sais ça me fait franchement chier ces fêtes de famille, tout ce cinéma. Et le matin, comment fera-t-on ? Tu vas me grimper dessus dans la cuisine pendant que ta mère aidera Mamie à monter l’escalier ? Bon tu n’as pas une cigarette, je suis énervée. En tapotant avec ses doigts sur la table, son mollet quoique ravissant me donnant le tournis tellement il se balançait.
— Non pas de clope et arrête avec ta jambe, c’est agaçant. Je vais y penser demain et si je trouve une solution je passe un coup de fil à ma mère pour arranger la disposition des lits.
— Ah parce que tu appelles ta mère en premier, moi je ne compte pas.
— Bon Véro il est tard, je suis fatigué et nous reprendrons cette conversation demain. Lui dis-je en me levant.
J’étais dans ma chambre sans avoir salué ma tante et je me déshabillais quand forcément elle arriva. La mine déconfite par ...
... notre mini-dispute, Véronique restait plantée près de la porte, les mains dans les poches de sa robe de chambre. Confuse de s’être emportée de cette façon, elle ne savait que faire pour être pardonnée. En l’ignorant je partais dans la salle de bains me brosser les dents et une fois fini, je regagnais ma chambre. Véro était dorénavant au milieu de la pièce et sans échanger ni un mot ni un regard, elle vint près de moi toujours mains dans les poches.
— Hmm…euh je me suis énervée bêtement Patrick, j’en suis désolé…tu ne m’en veux pas ? Toute penaude de s’être emportée.
— Non mais j’ai horreur de te voir te mettre dans un état pareil, toi qui es toujours zen, pleine de vie…reste cool ma Tatie chérie !
— J’aime quand tu m’appelles comme ça. Dit-elle en souriant.
— Ah c’est déjà mieux, tu souris à nouveau. Je reconnais la femme que j’aime ! M’exclamai-je en la dévisageant.
— Bon alors on fait la paix. Dit-elle en desserrant sa ceinture avec sa chemise de nuit déjà ouverte.
— Wouah Véronique ! Je vois que tu es prête et toujours autant séduisante.
— Mais qu’est-ce que tu crois, je veux plaire à mon neveu. Et puis il n’est pas trop tard… En venant l’enlacer je glissais ma main à travers sa chemise pour envelopper son sein ensommeillé.
— Tu sais que je ne suis jamais sentie aussi proche d’un homme. En se cabrant pour bien se faire téter sa poitrine.
— Je t’avoue que je ne pensais que ça durerait si longtemps et plus le temps et plus tu me plais. En lui aspirant ...