1. L'horrible Dette


    Datte: 23/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymefistoxx, Source: Literotica

    J'étais tendu, terriblement tendu. Audrey, ma femme , venait de me quitter à cause de ce que je venais de lui apprendre. Elle devait le savoir car de part ma bétise liée à mon addiction au jeu, notre futur mariage allait être remis en cause. D'autant plus que sous la colêre, elle m'annonça une terrible nouvelle mais qui au fond, n'était pas étonnante vu mon comportement. J'étais au bar, sirotant un café et attendant ma mére. Il fallait aussi que je lui dise, que je lui avoue tout. Nous étions trés proche et parlions beaucoup. mon pêre travaillait tous le temps et mon frêre ainé ainsi que ma soeur cadette, venait de démarrer leur vie, loin de notre famille. Je la vit arriver de loin car malgré ses bientôt 54 ans, Marie était une femme aux atouts remarquable et qui faisait dix ans de moins. Elle portait un pentacourt moulant noir, peut être trop moulant car elle avait des fesses légérement grosses bien que réhaussées ses mules à talons haut transparentes. Je me souviens, c'était Audrey qui les lui avait offert car ma mère se plaignait d'être petite alors qu'elle était de taille moyenne. On avait l'impression qu'elle marchait sur la pointe des pieds. elle s'était verni soigneusement les ongles en rouge. Elle avait mis une petite veste, trés fine non fermée par dessus son débardeur qui, comme d'habitude par beau temps, mettait son opulente poitrine bien en valeur. Bien que jeune, elle fut embarrassée par celà, selon ses confidences, elle prit goût de se décolletter en prenant ...
    ... de l'age. Surtout aprés son mariage, un peu blasée des absences de mon pêre et le besoin de se sentir désirer. Suite à ses grossesses, ses seins avaient encore grossi terriblement. Marchant cambrée, avec son petit sac, ses seins prenaient de l'ampleur et rebondissaient mollement attirant le regard des passants masculin. Lorsqu'elle me vit, elle se mit à sourire tout en m'embrassant. Cheveux teint en noir, impeccablement maquillé avec un gloss rose magnifique mettant en valeur ses lêvres. Elle s'assit posa son sac et commanda.
    
    -Comment vas tu mon chéri? je suis trés heureuse de te voir.
    
    -Mal, maman, trés mal
    
    Ma mére fronça les sourcils.
    
    -raconte moi tout, Jean, que se passe t'il? D'habitude tu es plutôt réjouit.
    
    J'hésitais, maintenant que je l'avais enfin en face de moi, je ne voulais plus rien lui dire de peur de la décevoir, comme j'avais déçu Audrey, la femme de ma vie. Marie me regardait intensément, attendant ma réponse. Je me lançai:
    
    -Audrey m'a quitté depuis une semaine, c'est fini.
    
    -Elle t'a quitté? mais c'est impossible, vous deviez vous marier!
    
    Je mis ma main sur mes yeux. Ma mère insista:
    
    -Je n'en reviens pas. Mais que s'est il passé?
    
    Elle attendait une réponse mais nous fûmes interrompus par le serveur, un jeune homme, la vingtaine passée à peine. Il ne put s'empêcher de lorgner les gros seins de Marie. Il lui servit son café et semblait horriblement géné. Sans doute en aperçevant, au dessus de la grosse poitrine, son deuxiéme collier ...
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