Coup de foudre
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
sales,
campagne,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fsodo,
uro,
Humour
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
... reprit donc son chemin en déboutonnant sa braguette. Il donna quand même un coup de fourche dans les roues de la Fiat tout en libérant sa semence. Jérémie n’allait pas aussi vite. Il roula avec sa partenaire et ils tombèrent dans le ruisseau, un peu boueux, un peu glacé. Cette fois, c’est elle qui prit le dessus. Elle se pénétra avec violence du vit empourpré et violacé ; elle ressentit bientôt un second orgasme. Des gerbes d’eau éclaboussaient toute la route et même le capot défoncé de la Renault qui avait définitivement pris la forme des deux amants. Des voitures passaient parfois au ralenti, mais rien ne freinait l’étreinte fangeuse. Ils roulèrent de nouveau et c’est sur la terre noire du champ voisin qu’ils reprirent leur souffle. Couverts de vase, les deux sexes se cherchaient encore. Les deux anus palpitaient sous les mottes. Les bouches filtraient les herbes dans d’étonnants cunnilingi, d’improbables fellations.
On entendit au loin les sirènes affolées des pompiers, des gendarmes, de l’armée avec les gyrophares bleus des journalistes. Ils prirent le temps de mettre le feu aux deux bagnoles avant de s’enfuir dans les bois. Ils avaient répandu du poivre de façon à ce que les chiens policiers soient déroutés. Ils savaient qu’il faut toujours avoir du poivre à portée de main ; ils en avaient eu le pressentiment… Une fois en sécurité, la femme se laissa tomber tête en avant sur un gros tronc de façon à ce que son cul soit en évidence. Elle écarta ses fesses avec les deux ...
... mains et Jérémie, tremblant de fièvre et de désirs, sodomisa pour la première fois de sa vie. Il s’en suivit des cris sourds et des pâmoisons à répétitions. Mais c’est quand il entendit le crépitement des deux voitures en feu et les hurlements des chiens fous de douleur en s’empiffrant de poivre qu’il prit son plaisir. Une éjaculation qui perdit toute retenue au point de déborder de l’anus hospitalier et de couvrir de liqueur le tronc sur plusieurs mètres.
Cependant les hélicoptères tournoyaient ; ils se réfugièrent dans une grange abandonnée. Après un bon sommeil réparateur, ils se léchèrent comme deux ours au sortir de l’hibernation. En France et en Estonie, d’où on avait appris que venait la jeune femme, les familles s’inquiétaient. Surtout sur leurs états mentaux. Ils avaient quand même bousillé des voitures presque neuves. La presse faisait ce qu’elle pouvait pour rester dans les limites du bon goût, mais ne pouvait éviter les gros titres : « DEUX FÊLÉS DU CUL EN LIBERTÉ ! »
Progressivement, ils avaient appris à vivre de la cueillette des fruits dans les vergers des environs qu’ils visitaient la nuit. Le jour, ils restaient l’un dans l’autre. Le membre de Jérémie ne quittait jamais son étui, le sexe d’Ana. Il avait compris qu’elle s’appelait Ana ou Alexandra ou Amedea, mais de toute façon, quand il disait Ana, elle tournait la tête. Ils marchaient ainsi emboîtés. Et faisaient tout ce qu’ils avaient à faire sans jamais se séparer. Pour dormir, c’était assez simple. ...