Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (6)
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... local », mais cela bouge suffisamment, pour que les seins se balancent en cadence. Il sourit, amusé, et Jana lui fait un sourire enjôleur. Et quand il danse avec moi, je lui laisse admirer le creux de mes seins. Je le sens devenir nerveux. On le serait à moins !
Nous formons maintenant, à nous quatre, un groupe soudé. Et Jana et moi évitons d’accepter d’autres invitations. Même quand nous nous retrouvons les deux seules, Monsieur Vondracek, ayant tenu à faire danser Bozena au moins une fois. Puis on annonce la pause pour l’orchestre ; il est 19 h. Reprise du bal à 20 h. Bozena nous entraîne :
— Eh bien, je crois que nous allons dîner, n’est-ce pas ? Vous devez avoir faim.
Nous entrons dans une petite salle. Des tables sont alignées contre le mur. Mais le restaurant fonctionne en libre-service. Et nous nous retrouvons à une table recouverte d’une grande nappe en papier qui déborde largement sur les côtés. Je me retrouve en face de Bozena et à la gauche de Monsieur Vondracek qui nous dit d’emblée :
— Bon, vous êtes bien aimable avec ces « Monsieur Vondracek ». Mais si vous m’appeliez par mon prénom, Pavel, ce serait plus sympa, non ?
Que répondre, sinon que nous sommes d’accord ? Je regarde Jana qui esquisse un sourire complice. « Avec ce qui va se passer ensuite ! » semble-t-elle me dire.
Je sens quelque chose, mais n’en laisse rien paraître. Pavel a dû glisser sa main gauche sous la table, la large nappe masquant la vue, et il me caresse la cuisse. Puis, ...
... je sens sa main remonter jusqu’à la lisière de ma minijupe. J’ai un léger frémissement, quand en la glissant dessous, il touche ma vulve, puis la caresse avec deux doigts. Il ne faudrait pas que ce petit cochon insiste trop, j’aurais du mal à résister à une telle caresse ! Je soupire quand, retirant sa main, il la repose sur la table.
Puis, il fait le même manège avec sa main droite, alors qu’ayant fini de dîner, nous bavardons. Jana me dira qu’il est parvenu à caresser ses genoux et le bas des cuisses. Quand nous nous levons, il est presque 20 h. Nous avons pris notre temps ! Quand nous nous retournons dans la salle de bal, l’orchestre vient juste de reprendre.
— Vous voulez boire quelque chose ? Je vous invite !
Pavel nous entraîne vers le buffet où nous prenons un café, debout, autour d’une table haute.
— Que diriez-vous d’une promenade ? Il commence à faire chaud et ça fait bien trois heures que nous sommes enfermés ici !
Bozena nous regarde. Pour elle, c’est sûr, les choses prennent forme. Elle nous lance :
— Allez-y donc vous trois ! Je fais partie du comité d’organisation et je ne peux m’absenter. Puis s’adressant à Jana et à moi :
— Rendez-vous ici à votre retour. C’est moi qui vous raccompagnerai !
Nous sortons, aussi discrètement que possible, en passant par une porte dérobée, située vers les toilettes. De là, nous longeons le préau, avant de sortir de l’école. Nous nous trouvons sur un chemin qui mène à la route, l’école étant le dernier ...