Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (6)
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... chauffeur est debout, face à nous. Comme il voit Jaroslav s’intéresser à moi, il jette son dévolu sur Jana. D’où il se trouve, il a un petit aperçu du creux de ses seins. Il lui tend la main :
— Venez donc ! On sera plus tranquille...
Et il l’entraîne jusqu’à son siège de conducteur. Pendant que j’essaie de voir ce qu’ils font, je sens une main nerveuse caresser mes cuisses. Jaroslav devient entreprenant :
— Hum ! J’adore ! Quelle peau douce tu as !
Puis, il passe sa main gauche entre mes cuisses. Je l’interromps quand je sens ses doigts palper ma culotte.
— Mon cher, je dois rester impeccable. Il est possible que ma sœur et moi ayons une mission à remplir.
J’ai dit cela sur un ton léger. Il hausse les épaules :
— Une mission...faire la pute pour le compte de la directrice ? Tu sais, les choses finissent par se savoir, que vous êtes très intimes, qu’elle te protège et aussi qu’elle cherche à se faire muter à Prague. Et il se murmure même que le directeur de l’enseignement du district de Prague sera présent à notre petite fête. Et quand je vois qu’elle a même trouvé le moyen d’inviter ta sœur, je me dis qu’elle a tout prévu pour arriver à ses fins !
Je ne suis qu’à moitié étonnée. J’imaginais bien que notre aventure ne pouvait demeurer éternellement secrète. D’un autre côté, Jaroslav semble être plus au courant que moi ! Il m’observe, légèrement goguenard :
— Ce n’est pas une dévergondée comme toi qui refusera de faire la pute... En attendant, ...
... tu me fais bander dur ! Tiens, touches !
Et, saisissant ma main droite, il la plaque sur sa braguette. Je sens une colonne de chair déjà bien grosse. Et comme je ne retire pas ma main, il me susurre :
— Alors, sors-la donc de sa cage et branle-moi ! Fais comme ta sœur, quoi !
Je lève les yeux : Jana, assise sur le tableau de bord, penchée vers le chauffeur, est en train de le branler gentiment avec sa main droite. Tandis qu’il lui caresse les cuisses et passe une main sous son caraco.
— Eh bien, quelle bite !
Je souris en extirpant ce gros cylindre de chair. Jaroslav est ravi de mon commentaire élogieux. Et je commence à le branler. Je sens son excitation grandir à mesure que j’astique sa bite. De mon côté, je le laisse caresser mes cuisses.
— Hmmm ! Que c’est bon ! Hmmm ! Si tu me suçais, ce serait encore mieux ...Suce-moi !
Je ne sais pas s’il supplie ou ordonne. Toujours est-il qu’il se lève d’un coup et vient mettre son gland décalotté presque sur mes lèvres.
— Tu n’as qu’à tout avaler, si tu ne veux pas tacher tes vêtements ! Allons, suce...si tu ne veux pas que nous soyons en retard...
Le salaud ! Il cherche à me coincer. Alors, ouvrant la bouche, j’engloutis sa grosse pine autant que je peux. Avec ma main droite, je lui malaxe les couilles, sans ménagement. Maintenant, il gémit, il essaie de me dire que je vais trop vite. Je fais coulisser sa bite dans ma bouche. A un moment, il devient tellement excité que, tenant ma tête à deux mains, il ...