ce coquin de propriétaire ! (21)
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: petitesyl, Source: Xstory
... je l’ai défoncée ta petite lopette...Hein ? Tu veux ?...Quand on est poli, on répond au Monsieur...On lui dit : « oui, merci »...Merde alors.
Ne sachant trop ce que je devais faire, je me suis entendue lui répondre.
— Euh...Oui Monsieur.
— Voilà qui est mieux, tu vois quand tu veux, tu peux être une gentille petite salope.
Il prit ma main et me tira littéralement hors de la salle de bain.
Il me conduit jusqu’à la chambre sans jamais lâcher ma main, il s’est ensuite assis sur le lit et m’a attirée vers lui pour que je m’assoie sur ses genoux.
Là, il me montra son téléphone portable...Plus, par réflexe que pour vraiment voir, j’ai regardé.
Un homme nu présentait son cul, l’anus formait un trou béant. Je regardais la photo sans comprendre trop pourquoi il me l’a montrée quand, soudain, j’ai compris. L’homme, c’était Loïc.
— Et j’peux te dire qu’il adore ça ! indiqua-t-il quand il vit que je l’avais reconnu.
Il me bascula ensuite sur le lit sans aucun ménagement, il vint s’écraser sur moi, ses lèvres se collèrent aux miennes, et sa langue força le passage pour venir taquiner la mienne.
Rapidement, il fut en moi...Et il ne lui a fallu que quelques va-et-vient pour se décharger en moi.
Il s’est ensuite effondré sur le côté.
— Qu’est-ce qu’elle est bonne ! cria-t-il pour que Marc l’entende.
— J’te ...
... l’avais bien dit...J’arrive, répondit Marc en se dirigeant vers la chambre.
— Déjà terminé ?
— Non, non...J’lui ai donné la première salve, là, j’laisse un peu refroidir.
— T’as encore de munition ?
— Ouais, t’inquiète...
— T’es certain ?
— J’ai jamais été scout, mais j’ai la même devise : « Toujours prêt !»
— Ouais, enfin, ta bite, elle n’a pas l’air de même avis...
— Ouais, ce n’est pas parce que j’ai arrêté de fumer qu’une petite pipe ne me ferait pas beaucoup de bien.
— Vous avez attendu Mademoiselle ? me dit Marc en me montant le sexe mou d’Hector.
Mes yeux l’imploraient, lui suppliaient de ne pas me laisser seul avec ce « gros porc ». Il me fit un petit sourire et un clin d’œil.
— Hector, je te la confie; prends soin d’elle.
Il s’approcha de moi, posa un baiser sur mon front.
— Je dois partir pour une heure ou deux, mais tu es en de bonnes mains...Sois gentille avec lui, tu verras, sous ses airs bourrus, c’est un mec bien...
J’allais lui répondre, mais il posa son doigt sur mes lèvres pour m’indiquer de ne rien dire.
— En mon absence, tu lui appartiens, tu dois lui obéir, accepter et faire tout ce qu’il te demande.
Il s’est ensuite penché vers Hector et ils se sont roulés une pelle au-dessus de moi.
Le seul baiser de Marc suffit à redonner un peu de vigueur au sexe d’Hector...