1. Une chance de cocu 4


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... fesses...C'est bon? Oui j'écarte mes genoux... Tu vois mieux... Ne te trompe pas de trou. pas mon cul, j'ai trop mal.
    
    Entendre sans voir ne convient pas à Romolo. Depuis le couloir il lorgne les amants unis, il observe la progression du manche dans le sexe boursoufflé. Il secoue sa main pour souligner son admiration, se mord un index pour ne pas crier sa joie d'assister à l'assaut du noir dans la blancheur de la femme. Il est impressionné par la vigueur renaissante du mâle. Le balancement des seins l'intrigue, jusqu'au moment où les bras d'Elodie cèdent et où elle s'effondre, tête dans un coussin, mais cul en l'air.
    
    Lorsque Boubou lui impose de venir s'empaler sur sa verge dressée, Elodie traîne. Ca lui vaut une salve de gifles sur le gras de la croupe.
    
    - C'est pour te réveiller. A la fin, bouge ton popotin. Enerve-toi un peu, descends, monte, au tot Quelle faignasse. On va essayer autre chose. Est-ce que tu as déjà pratiqué la brouette japonaise ?
    
    -Je ne sais pas ce que c’est. Je n'ai pas appris par coeur le nom de toutes les positions. La brouette japonnaise, peut-être avec Paul. Oh, mon Dieu, il nous a vus , c'est sûr. Que vais-je devenir?.
    
    - Oui, il est parti, le lâche, le bon à rien . Oublie-le. Tu te couches sur le ventre et tu laisses pendre tes jambes hors du lit. J’attrape tes cuisses, je les soulève, je présente ma queue à ton trou, j’y entre, je me cale bien au fond. Accroche tes pieds derrière mon dos. Maintenant tu te dresses sur les bras et tu ...
    ... vas poser tes mains au sol. Tu tiens le coup? Essaie d’avancer sur les mains, je reste en toi.
    
    - Tu me prends pour une acrobate! C’est dur.
    
    - Avance, on va essayer de faire un tour dans le salon. Crénom, à chaque pas je risque de te perdre. Merde, qui c’est celui-là?
    
    - Qui ?
    
    De surprise, en me découvrant à l’entrée de la chambre au moment où il voulait la quitter, Boubou lâche les cuisses. Elles glissent sur ses jambes, les bras d’Elodie cèdent et elle atterrit brutalement en boule entre lui et moi dans un cri de douleur. Je ne prends pas le temps de me présenter, mon poing droit est parti en demi cercle horizontal frapper le creux de l’estomac de celui qui me dénigrait, me traitait de lâche. Le coup plie mon rival en deux précisément en même temps que mon poing remonte. Ca fait clac, il plie les genoux, me regarde hébété et trouve tout seul la réponse à sa question. Celui qui cogne, c'est forcément un cocu pas content
    
    .Elodie aussi a compris, elle reste couchée, fuit mon regard. Elle est terrifiée de constater que je sais frapper, elle craint le pire. L’autre porte une main à sa bouche, en tire un morceau d’incisive cassée. Son magnifique sourire tout blanc a comme un défaut. J’attrape sa tignasse crépue et lui allonge un direct en pleine poire pour lui enlever toute idée de résistance et je l’envoie sur le lit. Je relève Elodie. Elle tremble de tout son corps, attend le coup de poing qui lui fera tout oublier; ce serait si commode de s'évanouir maintenant, mais ...
«1...345...»