1. Ma voisine (1)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Atypique, Source: Hds

    M. est notre voisine, récemment arrivée dans le quartier. Nous ne la connaissions pas encore, même jamais aperçue, quand elle est venue solliciter notre aide un jour où elle avait un problème de voiture. A l’ouverture de la porte, j’ai été immédiatement subjugué par le charme de cette brune trentenaire, de ses magnifiques yeux bleus, de son visage poupon et son sourire malicieux.
    
    J’ai tenté de la dépanner, sans trop de succès à vrai-dire mais cela a suffit à ce que nous fassions connaissance. Depuis, nous nous voyons à plusieurs reprises chaque semaine et sortons parfois également le soir. Elle et mon épouse sont devenues bonnes copines, ce qui rajoute à mon trouble. Je dois supporter de fréquenter cette jeune célibataire qui ne me sera jamais accessible, alors que les pires pensées érotiques me traversent à son sujet.
    
    A chacune de nos entrevues, je suis sous le charme, j’essaie de garder de la distance pour éviter d’entrer dans un jeu dont je sais que je ne sortirai pas vainqueur. Je suis charmé par son sourire, la finesse de ses traits, ses fossettes, le galbe de ses jambes….la seule chose que je pourrai reprocher à son physique serait son postérieur qui n’est pas rebondi - de ce que j’en vois en pantalon - et sa poitrine qui paraît généreuse, ce qui n’est pas trop à mon goût. J’ai bien conscience de chercher à me trouver des excuses pour essayer d’effacer mes pensées lubriques mais ça ne fonctionne pas autant qu’espéré…
    
    Je bricolais seul un samedi dans mon ...
    ... sous-sol lorsqu’on frappe à la porte. M. apparaît. Comme à chacune de nos entrevues, le même rituel recommence dans mon cerveau : quel joli minois, quel joli sourire, quelles jolies jambes… Elle porte un pantalon moulant aujourd’hui qui met son postérieur un peu plus en valeur qu’à l’accoutumée, ça me fait une bonne excuse en moins d’avoir envie d’elle. Nous discutâmes quelques minutes, elle me confiât avoir besoin d’un service pour analyser un courrier qu’elle a reçu, il semble officiel mais elle craint une arnaque : « sans problème, passe quand tu veux ! ».
    
    Qu’est-ce qui m’a pris de dire ça ? Suis-je fou ou quoi ? Je ne suis pourtant pas du genre à me jeter dans la gueule du loup…
    
    M. repart pour sa pause déjeuner. Si tout va bien – façon de parler - il est prévu que je ne la revois que lundi ce qui laissera le temps de reposer un peu mon cerveau libidineux. Ce petit entretien m’a pourtant fait beaucoup d’effet: mon sexe est douloureux car il s’est développé dans mon jean serré. Je plonge la main dans mon boxer pour le réajuster et me rends compte que mon érection est presque totale. Autant en profiter ! Je déboutonne mon jean, baisse mon boxer et commence à m’adonner à un plaisir solitaire dont M. est bien évidemment la star. Ma main est tour à tour sa bouche, son sexe, j’essaie d’imaginer sa poitrine volumineuse… Je ne l’ai vue qu’une fois en jupe et collant, mais je n’ai aucune peine à l’imaginer en bas. S’épile-t-elle ? Comment sont ses lèvres ? Son jus ? Mouille-t-elle ...
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