1. Une si brave épouse 2


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... on se met l'un contre l'autre, les bouches se rencontrent. Hum. Plus près...
    
    Je fais légèrement pivoter la porte. Odile est de dos, nue encore. Deux bras la ceinturent, deux mains reconnaissent son corps des épaules aux fesses. Elle interrompt le baiser :
    
    - Tu as compris. Es-tu content ?
    
    Il est bizarre de relancer la conversation alors que la fin est annoncée. C'est comme si Odile souhaitait plus de contact, sans oser le dire. Comme si répondre aux désirs de Clément dégageait sa responsabilité et ouvrait la voie à de nouvelles révélations sans culpabiliser l'initiatrice. Et Clément saisit la chance offerte :
    
    - Il paraît que les baisers prolongés, avec jeux des langues donnent des frissons et provoquent des réactions physiques intenses. Je n'en suis pas sûr, est-il possible d'essayer pour m'éviter d'être surpris quand j'embrasserai une fille ? La maladresse serait fatale.
    
    - Tu es un éternel insatisfait et un peureux indécrottable. Tu me fais pitié.. Allez viens ! Il ne faudra pas serrer les dents. Ta bouche. En route.
    
    En voyeur je me penche. J'assiste à une étreinte plus passionnée. Ce Clément si ignorant pousse son avantage, plie Odile en arrière. L'arc ainsi formé unit les deux ventres. Odile grogne, tapote l'épaule du gaillard. Mais il la tient trop bien. Le baiser dure, dure. Enfin Odile se dégage et observe son étrange partenaire.
    
    - Voilà, tu es content maintenant? Regarde dans quel état tu t'es mis. Oui, tu sais désormais. Ta verge manifeste tes ...
    ... émotions. C'est de ta faute.
    
    - Ah ! Oui. Je bande. qu'est-ce que c'est bon. Merci. Mais il paraît que les femmes aussi sont physiquement émues. On m'a dit qu'elles mouillent. Qu'est-ce que ça signifie exactement? On devrait reprendre ce baiser et tu me montrerais où et comment tu mouilles.
    
    - Impayable avec tes"il paraît". J'aurais mauvaise grâce à te cacher cette réaction. Dans le sexe de la femme, excitée par des baisers profonds comme celui que nous venons d'échanger, il se produit un écoulement. C'est normal.
    
    - Quoi ? Je t'ai fait mouiller ? Que je suis fier, j'ai réussi du premier coup. Ah! tu plaisantes ? . Tu blagues, c'est cruel et vexant. Sois bonne.Tu ne mouilles pas, il en faut plus ?
    
    - Mais si ! Non il n'y aura pas d'autre baiser, tu abuses de ta force.
    
    - Dommage, je recommencerais volontiers. Prouve-moi que tu ne triches pas. Montre-moi ta mouille.
    
    - Tu me fatigues avec ta litanie de questions. Donne-moi ta main, plie les doigts sauf l'index. Laisse-moi te conduire. Tu touches mon sexe, pousse-ton doigt. Je m'ouvre sous la poussée. Que sens-tu ? Sors ton doigt, regarde-le.
    
    - Oh! C'est merveilleux, mon index est couvert d'un liquide transparent épais. Il faut que je voie où j'ai mis mon doigt. Dis, montre ta chatte. Debout je ne vois rien. Allonge-toi sur le lit et je m'agenouille devant toi. Oui, mais pourquoi serres-tu les cuisses? Sois gentille, ouvre-les.
    
    - Ce n'est pas bien. Bon, à la fin tu t'en iras. Promets !
    
    De quelle fin Odile ...
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