1. Histoires de la Bheureuse Agnès 01


    Datte: 22/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... effectuait un mouvement imperceptible de l'extérieur, mais qui lui branlait le haut de la fente, le clitoris et les petites lèvres.
    
    Elles n'en étaient pas encore à la moitié de la séance de soins que le jeune gars bandait à fond. La menotte gantée de Cécile était plus que largement débordée par le membre. Sa main n'en faisait plus le tour et la bite décalottait déjà à fond... D'autant que de l'autre main mise en creux, elle soutenait les couilles chaudes du jeune type...
    
    Tout en restant attentive aux soins qu'elle donnait au garçon, Agnès sentait sa petite moule se mouiller, tant cette bite superbe lui faisait de l'effet... Elle se disait qu'il y avait longtemps qu'elle n'avait pas eu un engin comme ça entre ses jambes et dans sa fente... D'ailleurs en avait-elle déjà vu d'aussi gros et d'aussi longs... Et disons le mot : d'aussi jolis! Depuis qu'elle était entrée dans ce service, donc depuis maintenant 5 mois, c'était le désert sexuel... Certes sa dernière année d'infirmière, "son internat" comme on l'appelait avait été bien occupé de ce côté-là, et les internes ne l'avaient pas laissée chômer!... Mais depuis?...
    
    Et un si beau membre qui reste inutilisé se disait-elle en revenant au présent de ses soins... Non, c'est sûr, elle ne s'était jamais fait baisée par un aussi beau braquemart!... Tout en effectuant les pansements, elle n'arrêtait pas d'imaginer ce membre entre ses lèvres de sa bouche et sa langue aller et venir sur l'énorme gland... Elle avait beau se ...
    ... concentrer sur son travail, sans cesse cette image du vit dans sa bouche revenait à son esprit... Quand ce n'était pas l'image de la bite directement dans son trou de femme!... "Arrête de penser comme une salope! " se disait-elle pour stopper le dévergondage de son esprit... Mais rien à faire. Plus elle se l'interdisait et plus elle sentait que son désir augmentait et que sa fente se mouillait de ses idées trop précises... Elle serrait les jambes pour contenir son envie de se passer la main entre les cuisses.
    
    Elle jeta un regard rapide vers Cécile. Celle-ci était cramoisie, rouge jusqu'à la racine des cheveux. Elle se tenait raide le long du lit essayant de fixer son attention sur le travail d'Agnès, pour ne pas regarder le vit magnifique qu'elle tenait en main... En réalité, ce soutien était complètement inutile, tant le pieu tenait tout seul. D'ailleurs dès qu'Agnès eut terminé les soins et n'avait plus que les affaires à ranger sur le chariot, Cécile demanda précipitamment :
    
    - " Agnès, je vois que tu as terminé, tu veux bien que je te laisse ranger? La séance a duré particulièrement longtemps, je vais voir si on a besoin au P.C. ". Elle n'attendit pas la réponse et s'éclipsa rapidement sans un regard vers le patient qui restait dans sa position tendue.
    
    Agnès fut surprise de la réaction de Cécile. Ce brusque départ était en effet inhabituel, la consigne étant de rester à deux pour effectuer la totalité des soins, rangement compris. Mais elle n'y prêta pas davantage ...
«1234...7»