Une journée qui commence bien
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: HagenRagnard, Source: xHamster
... Il sait qu'en plus, je ne me procure pas de plaisir solitaire lorsqu'il est avec moi. Il aurait quand même pu faire un effort !!! bon, j'avoue qu'à sentir sa queue qui tressautait sur ma cuisse, il devait être lui aussi diablement énervé... Mais ce n'est pas une raison !
De dépit, je me suis tournée sur le côté, lui présentant mon dos. Comme à son habitude, je l'ai senti venir se couler contre moi et placer son sexe durci entre mes fesses. Un petit coup de rein pour lui montrer mon mécontentement ; ça lui apprendra !
Lorsque je me suis réveillée au matin, la chambrée était encore plongée dans le silence, seulement troublé par les respirations lentes et profondes des dormeurs. Un mince rayon de soleil filtrait par la fenêtre, baignant la pièce d'une douce lumière diaphane.
Je me suis redressée et regardé Jean qui dormait encore. Les draps avaient glissé sur ses jambes, laissant son sexe fièrement dressé à nu. Du bout des doigts, j'ai remonté la hampe, des testicules jusqu'au gland, laissant ma paume caresser ce bâton de chair que je convoitais. Mon désir de la veille, insatisfait, revenait au galop. Je taquinais le méat. J'avais une folle envie d'y déposer un baiser, de sentir ce gland sur mes lèvres. Je sais qu'il adore ça. Je jetais une œil furtif sur nos compagnons de la nuit. Thipaine et Chloé dormaient l'une contre l'autre, entièrement nues. L'une me présentait une poitrine suggestive tandis que l'autre m'offrait une vision de ses fesses parfaites. Elles ...
... étaient belles ainsi, alanguies. Un peu plus loin, Christophe se reposait sur la méridienne, son visage aux traits reposés tourné vers moi. Je détaillais son corps mince, et m'arrêtais sur le caleçon qu'il avait gardé et qui masquait à ma vue ses attributs. Il devait lui aussi être en érection, mais je ne pouvais rien voir que ce morceau de tissu tendu par sa virilité très certainement gorgée de sang. Je me suis sentie frustrée et je regardais à nouveau mon homme qui n'avait pas bougé, son sexe plein de vie emplissant ma main. Je cajolais cet objet de désir, avide de pouvoir le goûter sur ma langue, désireuse de le sentir emplir ma chatte. Mais Jean ne bougeait pas. Il est si beau quand il dort. Je le laissais à regret à ses rêves qui, je l’espérais, faisaient de moi son héroïne. Je délaissais doucement le sexe adoré et me levais sans faire de bruit.
En sortant de la chambre, j'abandonnais ma petite culotte qui avait subi les outrages de mes désirs et m'emparais d'un paréo qui traînait là pour voiler ma nudité.
Le coin cuisine était déjà occupé par nos hôtes, et je leur fis signe que tout le monde dormait encore. Je m'approchais d'eux pour les saluer, et acceptait la tasse de thé qu'ils me tendirent. Ils s’excusèrent de ne pouvoir rester avec moi, renouvelèrent leur invitation à profiter de la maison, et me laissèrent là à ma tasse brûlante.
Je profitais de leur départ pour sortir, et me laissais bercer par les rayons du soleil qui venaient agréablement chauffer ma peau. ...