Incertitudes hivernales (10)
Datte: 14/03/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... mais...
— Qu’elle assume.
Maryline n’ose pas en rajouter.
— Viens, j’ai soif.
A la cuisine, nous buvons puis nous retournons dans la chambre. Maryline demande :
— Finalement, tu peux me déposer chez moi ?
— Sans problème.
Nous retournons dans la chambre et dix minutes plus tard, nous sommes dans la voiture. Maryline dit :
— J’ai un peu mauvaise conscience.
— Tu ne dois pas. Jess’ n’a que ce qu’elle mérite. J’espère qu’elle comprendra que ce qu’elle a fait est très moche et qu’elle s’excusera auprès de toi. Et auprès de moi.
J’ajoute un peu après.
— Je ne veux plus parler d’elle et je suis désolé que tu sois au milieu de tout ça, Maryline.
— Ce n’est rien.
Quelques instants plus tard, à un feu rouge, je dis :
— Tu es toute belle dans cette tenue également, Maryline.
Un sourire illumine son visage. Elle rougit.
— Merci. Je... J’ai pensé à toi en prenant ces vêtements.
— C’est vrai ?
— Je sais que tu aimes bien les jupes et les robes, Jess’ me l’a dit. Je n’en ai pas beaucoup à part cette jupe en jeans, mais je l’aime bien. En haut, c’est pour le décolleté. L’autre jour, au défilé, j’ai remarqué que tu regardais souvent le mien et j’ai compris ce soir à quel point tu appréciais.
— Tu mérites de rencontrer un mec bien.
Je me tourne vers elle et l’embrasse sur la joue. Elle sourit. Nous poursuivons notre route quelques minutes, jusqu’à chez elle. Devant la maison, elle me dit :
— Tu viens prendre un café ? Je serai ...
... plus rassurée si tu en bois un avant de partir.
— Ce ne serait pas du luxe, effectivement, mais tes parents vont...
Ils sont à la montagne ce week-end.
Je me gare et nous entrons. Maryline me fait immédiatement un petit café serré. Je le bois à petite gorgée, debout dans la cuisine, appuyé contre le plan de travail. Je ne sais pas quoi penser. L’attitude de Jessica m’a dégoûté et je me suis un peu perdu. Je suis surtout fatigué et il faut vraiment que je dorme. Maryline ne dit rien, comme si elle comprenait que je suis en pleine réflexion. Je termine ma tasse et la dépose dans l’évier. Je regarde Maryline. Elle me sourit. Je m’avance vers elle et la prend par la taille. Elle passe ses mains derrière ma nuque. Je lui dis :
— Bon, on a un peu rattrapé l’eau de boudin.
Elle rit.
— Je trouve aussi ! Et c’est grâce à toi.
— A moi ? Pas du tout. C’est toi qui a fait en sorte que nous ne endormions pas.
Elle rit à nouveau.
— Je n’ai rien fait !
— Quand nous étions assis au bord du lit, tu t’es levée et tu m’as mis ta poitrine dans la figure !
Je baisse les yeux sur son décolleté et pose un doigt au milieu de ses seins. J’ajoute :
— Comment voulais-tu que je résiste ?
Maryline fait alors quelque chose de tout à fait inattendu de sa part. Elle tire sur son décolleté et fait jaillir ses deux grosses mamelles. Je la regarde, bouche béé, et dit :
— Il ne faut pas faire des choses comme ça, Maryline...
Je me penche alors sur ses seins et les ...