1. Grève


    Datte: 14/03/2019, Catégories: fh, inconnu, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral 69, fdanus, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... me positionne sur lui, mais au lieu de me planter sur son dard, je me masturbe avec. Je le fais glisser sur et entre mes lèvres, je m’en sers sur mon bouton que je frotte avec le gland.
    
    Il rougit, gémit, supplie, mais je n’ai aucune pitié. Je roule des hanches, je m’éclate, je me frotte, je coule sur ses valseuses que j’assaisonne copieusement, je me caresse, je feule, je ne cherche que mon plaisir que j’obtiens et je le laisse en plan, muni d’une belle érection ; qu’il se démerde !
    
    J’attaque mon repas. Il vient me rejoindre et se marre.
    
    — Tu es redoutable !
    — Tu trouves ?
    — Si je n’y prête pas garde, je vais tomber amoureux.
    
    Là, il m’en bouche un coin !
    
    — Ce soir, c’est japonais ; je t’invite. Chacun son tour.
    
    L’après-midi se passe plus calmement. Nous faisons une seule fois l’amour, tendrement. Ou plutôt je lui fais l’amour, moi au-dessus. Il me caresse les roberts, le ventre. Je suis empalée sur lui et je ne bouge pas. Je joue avec les muscles de mon minou, je regarde monter le plaisir dans ses yeux.
    
    Il caresse ma toison, cajole mon bouton. Nous décollons tous les deux, ensemble. C’est la première fois que ça m’arrive : en général, les mecs cherchent d’abord leur plaisir ; lui cherche aussi le mien.
    
    Nous faisons une sieste, serrés l’un contre l’autre.
    
    Le soir, ses vêtements sont secs ; nous nous préparons pour partir au restaurant. Je suis triste : il va me quitter après ce repas.
    
    Le dîner est parfait, délicat.
    
    — Que fais-tu demain ?
    — ...
    ... Demain, c’est dimanche ; je ne bosse pas. Pourquoi ?
    — Je reprends le boulot demain soir – une nouvelle garde – alors je me disais que si tu avais pitié d’un pauvre interne solitaire, pourrais-tu lui faire une petite place pour cette nuit ?
    
    Je le regarde, ébahie.
    
    — Tu veux rester avec moi cette nuit ?
    — Jusqu’à demain soir si tu veux.
    
    Je fais un grand sourire ; mon sushi a bien meilleur goût.
    
    — Oui, oui et oui !
    — J’ai un petit aveu à te faire quand même…
    — Ah bon ? dis-je, inquiète.
    — Vendredi soir, je l’ai entendu te faire des avances ; je n’ai rien fait. Mais lorsque tu as crié, je suis intervenu. Quand je t’ai embrassée et tenue dans mes bras, je ne voulais plus te lâcher, je me suis demandé comment te garder. Alors j’ai profité de la présence de cet hypothétique suiveur pour te faire peur. Peut-être qu’il ne nous suivait pas. Tu m’en veux ?
    — Ses mains sur mes fesses n’étaient pas hypothétiques ; et puis, vu ce qu’il s’est passé après, non, je ne t’en veux pas. Au contraire…
    
    Il me fait un grand sourire. Je ne suis pas loin de craquer pour de bon.
    
    Ce soir, nous ne faisons pas l’amour, pas de folies ; juste des bisous. Je m’endors nichée contre lui. Le chat me fait la gueule : d’habitude, c’est sa place.
    
    ________________________
    
    Ce dimanche matin, changement de programme. Je me réveille, toujours blottie entre ses bras, le dos contre son torse, un bras passé sur ma taille, une main sur un sein. Il embrasse mon cou et mes épaules, ses doigts ...