COLLECTION SM. La pute de mon père (1/1)
Datte: 14/03/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Quand je parle de la pute de mon père, loin de moi l’idée de parler de ma maman morte à ma naissance, mais de sa deuxième femme qu’il a épousée quand elle avait vingt ans et trente de moins que lui.
Vingt ans alors que j’en ai vingt deux et que si la vie l’avait voulu elle aurait pu devenir ma femme.
Julie est la fille de Julien et Juliette, les métayers de notre domaine.
Nous vivions dans le manoir de notre famille alors qu’elle a grandi à la lisière de la forêt dans une masure que mon père leur louait fort chère.
C’est quand j’ai vu cette gamine venir sans en avoir l’air tourner auprès de mon père que je suis parti vivre en Angleterre dans un ferme que nous avions héritée de nos grands-parents maternels.
J’ai émis des doutes sur le but que la petite recherchait avec ses jolies boucles blondes et ses yeux bleus, il faut dire qu’il y avait des faux airs de ma mère dans son joli minois.
J’ai compris que mon père craquerait et qu’en devenant son épouse, elle me dépouillerait de la moitié de la succession venant de maman.
J’étais tranquillement en train de me faire sucer dans mon fauteuil quand un télégramme m’a été apporté.
Je suis un peu comme mon géniteur, je suis porté sur le beau sexe.
Si c’est la fille des métayers qu’il a baisée avant de l’épouser, moi, c’est la fille de l’épicière qui prépare son trousseau à quelques mois de ses noces avec sa bouche qui est avec moi.
Elle s’appelle Antoinette, Toinette pour ses intimes.
Un jour qu’elle ...
... venait livrer mes besoins pour la semaine, je lui ai payé un Porto ce qui l'a à moitié bourrée.
Si je m’étais écouté, j’aurais pu la dépuceler sur la table de ma salle à manger mais je suis un homme d’honneur aussi je me suis contenté de lui donner quelques livres pour qu’elle me soulage les couilles en suçant et avalant mon sperme.
C’est là qu’elle m’a parlé de son trousseau, je lui ai fait une proposition malhonnête qu’elle s’est empressée d’accepter : chaque semaine si elle me suçait et avalait mon sperme, je m’engageais à conserver sa virginité, tout en l’aidant à monter son trousseau.
Il faut dire que son galant était d’origine italienne et si au soir de ses noces les draps étaient sans les traces de son sang, la petite risquait de se retrouver exclue de leur famille jusqu’à sa mort et conduite dans un endroit où personne n’aurait plus entendu parler d’elle.
J’aurais pu lui prendre l’anus comme de nombreuses gourgandines le font pour éviter leur déchéance, mais la "boite à caca" de cette petite était loin de me faire envie.
Le télégramme venait du notaire de la famille.
« Père décédé, enterrement dans trois jours à 15 heures, à l’issue de la cérémonie, j’ouvrirai son testament. »
Mon premier réflexe a été de renvoyer un message disant que j’étais bien chez moi, mais j’ai eu des inquiétudes que la salope ait réussi à lui prendre tout jusqu’à la maison de ma maman que j’habite en Angleterre.
Je préviens donc mes propres métayers dont la femme d’une ...