1. Mes amants (première partie)


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: BonneCochonne, Source: Hds

    Mon maître de l’époque avait deux copains très cochons. Ils s’appellent Charles et Henri.
    
    Sur le plan physique j’aimais beaucoup Henri, que je trouvais sexy. Néanmoins Charles, à partir du moment que je suis devenu de plus en plus féminine ainsi que docile, s’est intensément intéressé à moi. Bien que je ne réagisse pas à ses avances, il demeurait très entreprenant et enthousiasme. Il ne se gênais pas d’appeler chez moi (chez mon maître) pour me dire, qu’il me trouvait belle et sexy. Je ne voulais pas semer la discorde entre mon maître et ses amis, je ne l’ai donc jamais dénoncé. Il y a aussi, que c’est plaisant de se faire courtiser… J’écourtais tout de même ses appels et je lui ai demandé de ne pas trop ambitionné ainsi que de pas trop insister. Je lui ai cependant permis de m’appeler à l’occasion.
    
    Un jour il nous a invité à son camp pour y passer la fin de semaine. J’appréhendais sa présence et ses avances continuelles. Ils ne se gênait pas pour me dire, qu’il aimerait m’avoir comme copine intime. Pourtant sa petite esclave était une transsexuelle. Je ne comprenais alors pas son intérêt pour moi… Mais, en même temps, son désir pour moi me plaisait.
    
    En arrivant il était à la piscine et, tout d’un coup, son maillot de bain m’est devenu une révélation et je ne pouvais plus y retirer mon regard. Ce qui m’a valu d’être grondé par mon copain et, plus tard, d’avoir à subir une soirée très douloureuse au donjon où je devais lui prouver ma soumission ainsi que mon ...
    ... appartenance la plus totale. Néanmoins l’image de ce maillot de bain m’étais obsessif et je ne pouvais plus me la chasser de l’esprit. C’est ainsi, que j’ai commencé à m’intéresser réellement à Charles. Depuis ce temps je l’ai toujours regardé le plus discrètement que possible sous la ceinture. J’adorais le voir venir à notre demeure ou quand nous le visitions. Je ressentais désormais Charles dans tout mon corps. Quand je pouvais m’isolé, je m’arrangeais pour le contempler. Il a alors commencé à habiter mes fantasmes et quand je me masturbais, c’était à lui que je pensais.
    
    Ses téléphones ont commencé à devenir de plus en plus fréquents et plus entreprenants. Je les attendais et je me masturbais à l’écouter. Il m’y arrivait de jouir pendant nos conversations. Il trouvait, que mon copain était une personne chanceuse de m’avoir. Je réagissais toujours mieux à ses commentaires positifs et je recherchais discrètement à les provoquer. Il me contait, sans rechercher à m’y inclure, sa vie sexuelle : ses partouzes et ses expériences… Il adorait nos téléphones, car il sentait alors avoir le contrôle sur moi. Pour ma part, quand je suçais mon maître, je rêvais d’en avoir plein la bouche de Charles. Je l’imaginais heureux de venir se réchauffer dans la chaleur de mon corps torride. Je me disais alors qu’une bouche d’esclave est surtout là pour abriter et servir le pénis de ses amants. Ce que je voulais faire pour le rendre encore plus heureux.
    
    La visite décisive
    
    Un soir il nous a invité ...
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