1. Un patron très attentionné (3)


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... à l’aise à chaque fois que je croisais Claude, j’avais toujours le droit à ses petites tapes sur les fesses, mais disons que maintenant elles ne me laissaient plus indifférent. Ce serait mentir de ma part que de vous dire qu’il me collait une petite main aux fesses tous les jours, mais je pense que j’y avais droit tous les quinze jours, mais je le prenais toujours sur le ton de la rigolade. Claude était légèrement plus âgé que mes parents et je me sentais un devoir de respect, pas un respect dû à son âge, mais plutôt un respect dû à tout ce qu’ils avaient construit de ses mains ; sa réussite il ne la devait qu’à lui. Il avait toujours le même regard complice avec moi, même si maintenant j’avais l’impression qu’il me déshabillait des yeux, mais je pense que je me montais des films.
    
    Un soir dans la semaine, quand je suis rentré à la maison, il y avait un colis devant ma porte, le curieux que je suis s’est empressé de regarder ce qu’il y avait dedans. À ma grande surprise, il y avait une paire de cuissardes à ma pointure, avec des talons d’une dizaine de centimètres, le tout accompagné d’une petite lettre.
    
    — Coucou ma chérie, je t’ai trouvé ça, je pense que tu vas te trouver encore plus belle ainsi chaussée.
    
    Vous vous doutez bien que je me suis empressé d’aller les enfiler pour voir comment j’étais dedans, j’étais assez surpris car elle était en lycra laqué et il y avait une fermeture éclair d’une vingtaine de centimètres, pour que mes pieds puissent descendre ...
    ... correctement. Une fois bien enfilées, j’ai pu constater qu’elles m’arrivaient presque au niveau des fesses. Les talons étaient assez fins et durant dix bonnes minutes, je me suis promené chez moi en me sentant belle. Quand j’ai enfilé une douce robe longue par-dessus j’ai été sidéré par les sensations magnifiques que l’on pouvait ressentir avec le frottement de la robe sur les douces cuissardes. Maintenant, il ne me manquait plus qu’une perruque, pour pouvoir être à peu près présentable, car j’avais de la chance de ne pas avoir un système trop développé, voire pas du tout. Je pouvais me permettre de ne me raser que tous les quinze jours avant que cela commence à se voir.
    
    Je n’ai pas vu ma propriétaire pendant presque quinze jours, je peux vous garantir qu’elle m’a vraiment manqué.
    
    Un samedi, alors que je rentrais d’être allé faire les courses, elle m’est tombée dessus, rien qu’à la voir, il n’y avait pas de doute, elle avait envie de s’envoyer en l’air. Elle était parée d’un ciré rose et en dessous, une magnifique guêpière noire avec des bas assortis et la foufoune à l’air. Elle m’a aidé à porter les courses dans mon appart, avant de s’engouffrer avec moi dedans, elle m’a quand même aidé à ranger les produits frais dans le frigo, avant de s’allonger sur mon lit.
    
    — J’ai envie que tu me bouffes la friandise et qu’après, tu me fasses l’amour comme un fou.
    
    Je commençais à connaître le personnage et je savais que ses désirs étaient des ordres. Voilà comment je me suis ...
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