Ma mère Martine 07
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... bourgeoise à gros seins qui n'est autre que ma mère. L'urine se mélange au foutre, à l'alcool et à la sueur et elle dégouline partout sur son corps rendant maman méconnaissable. Elle est bien pleine, souillée de la tête au pied, le corps gorgé de sperme.
Peu à peu, les jeunes se retirent ainsi que la quinzaine de mecs qui l'ont baisée précédemment. Il est 6h30 du matin lorsque les trois proxénètes nous déposent devant mon studio. Maman est recouverte de la couverture poisseuse et nous nous traînons jusqu'à mon appartement. Nous prenons une douche et ma mère s'endort à poil sur le lit. On voit encore les innombrables marques de suçons sur ses gros seins.
Mon père appelle vers 9h00 du matin et je lui explique que maman a une migraine et qu'elle dort encore. L'excuse est parfaitement crédible car, il est vrai que ma mère a, de temps en temps , des petites migraines
J'ai une gueule de bois monstrueuse et je n'ose même pas repenser à cette nuit terrible. D'ailleurs, je pense que maman et moi allons faire en sorte de l'oublier car je l'ai quand même enculée, moi, son propre fils.
Vers 14h00, nous prenons un petit déjeuner sans dire un mot et sans nous regarder. Ma mère a juste un peignoir et moi, je suis en caleçon. J'entends frapper à la porte de mon studio et en regardant par le judas, je vois à mon grand désarroi, le proxénète. Il me force à ouvrir et il entre avec cinq comparses.
Ils se précipitent sur ma mère surprise et lui arrache son peignoir. Nue, ses gros ...
... seins ballottant, elle essaye de se débattre mais reçoit une paire de gifle et la voilà traînée par les cheveux sur le lit.
Moi, j'ai droit également à une belle tarte qui me colle à terre.
Un grand costaud l'immobilise tandis que son copain sort sa queue, écarte les cuisses de ma mère et la viole. Une fois vidé, il la passe à ses potes qui la forcent à s'agenouiller et à leur tailler des pipes dans mon propre studio.
Ma mère se retrouve à nouveau nue, la bouche remplie de sperme qu'elle avale. Le conducteur la prend par les cheveux et lui administre quelques claques histoire de lui rappeler qui est le maître :
- Alors sale pute, tu croyais que c'était fini, hein? Mais quand tu rentres dans ce système, c'est jamais fini! Jamais! En fait, tu n'aurais même jamais dû commencer.
Il reprend en se servant une bière qu'il a pris dans mon frigidaire :
- Voilà, le truc. Hier, on t'a filmé en train de te faire baiser et je ne crois pas que ton mari soit heureux que sa bonne femme fasse la pute avec son fils.
Il boit une gorgée.
- Désormais, tu travailleras pour moi, salope, et tu feras ce que je veux. Une fois par semaine, tu ramèneras ton cul par ici et tu tapineras toute la nuit. On te vendra à l'occasion à des jeunes qui te baiseront à la chaîne dans des caves, histoire de les calmer et de les empêcher de malmener les autres pauvres filles.
Je commence à me rebiffer mais un revers de main me remet au sol.
- Je poursuis : donc tu diras à ton mari que tu ...