Catherine et les sortilèges - 7
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
Humour
Inceste / Tabou
Auteur: Axelya, Source: xHamster
... se figea comme un pantin de bois. Elle se pencha et ouvrit la braguette du pantalon de Thomas. Le résultat n’avait rien d’impressionnant. Une verge de taille moyenne, à demi-molle. « Laisse-toi aller, dit Catherine, je prends la situation en main ». Tout en tirant la langue, elle jeta un bref regard dans le rétroviseur du milieu. Enzo se concentrait sur la conduite mais Dorian observait la scène avec attention. Elle lécha la verge en partant de la base, près des couilles, pour remonter au gland qu’elle suçota tout en se contorsionnant. Son clitoris la démangeait, l’envie de se branler la taraudait. Elle préféra attendre un peu, le délai exacerbant l’appétit. Elle n’eût aucun mal à engloutir la queue de Thomas en entier. Il lâcha une exclamation : « oh putain ! C’est trop bon ! » avant de se murer dans le silence, le visage cramoisi. Les deux autres ricanèrent. Le talent de Catherine ne tarda guère à faire effet. Elle sentit la verge du jeune homme gonfler et se tendre sous l’action de sa langue. D’une main, elle lui caressait les couilles et de l’autre le branlait quand il lui fallait reprendre son souffle. Thomas, ne sachant pas trop quoi faire, se contenta de respirer bruyamment. Ce qui devait arriver ne manqua pas de se produire et Catherine recueillit d’abondantes giclées de sperme au fond de la gorge, qu’elle avala sans hésiter. Thomas balbutia des excuses. Catherine s’essuya les lèvres avec un mouchoir avant de lui répondre qu’il n’avait rien à se reprocher et qu’elle ...
... savait parfaitement à quoi s’attendre.
Même si la fellation s’était avérée de courte durée, ils venaient tout de même de parvenir devant l’immeuble où résidait Enzo. C’était une impressionnante bâtisse haussmannienne sise dans le VIIIe arrondissement. Ils prirent l’ascenseur en silence. A cause de l’exiguïté de la cabine, ils se tinrent tous collés les uns aux autres. Enzo, par derrière, saisie la poitrine de Catherine à pleines mains. Dorian glissa les doigts sous la robe, entre les cuisses. Seul Thomas osa l’embrasser. Elle avait encore le goût de son foutre sur la langue. La tension sexuelle venait de monter d’un cran.
« Ne vous en faites pas, dit Enzo, mes parents passent la semaine à Deauville. » L’entrée de l’appartement donnait sur une vaste pièce principale sur la gauche avant de déboucher à droite sur un grand couloir qui formait un coude. Ils entrèrent dans la salle de séjour. Au-dessus d’une cheminée une gerbe de tulipe fusait d’un vase. Comme sur l’onde d’un bassin clair, elle se reflétait dans un vaste miroir au cadre de pin massif noir, orné de volutes à chaque angle et d’une frise flamande à son sommet. En face trônait un canapé XIXème. Enzo les avertit de ne pas s’asseoir trop près des bords sous peine de chute, les accoudoirs à bascule faisant, selon lui, du meuble un véritable piège. L’architecture des lieux, la décoration très classique pour ne pas dire désuète, réveillaient en Catherine ses souvenirs de bordel. Au reste, ne se livrait-elle pas ce soir ...