1. Cette si merveilleuse femme (1)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... m’abandonner à mon Maître. Mais nous n’osions pas, ton père et moi. La peur d’être surpris, certainement.
    
    Cet aveu sonne comme une supplique, voire un souhait. Je l’invite à se rendre dans les toilettes, ce qu’elle fait, les yeux déjà brillants de ce qu’elle imagine. Je la rejoins peu après, me retourne, ferme la porte, la bloque. Contre le mur, je la colle, appuyant sur sa poitrine, plongeant mon regard dans le sien. J’arrache violemment sa petite et frêle culotte. Déjà, ma main fouille son intimité. Elle s’abandonne, poussant de petits cris presque insonores. Je baise son cou en sortant mon sexe. Je soulève sa jambe gauche, plongeant mon sexe à l’aide de ma main droite, dans son intimité accueillante. Elle frissonne de bonheur quand, allant et venant, je pétris ses seins avec vigueur, presque brutalement. Je me fais rustre comme si c’était un viol. A son oreille, je me risque à des mots crus, violents, mauvais, et même particulièrement sales. Plus je lui en glisse dans son oreille, plus son corps vibre. On cogne à la porte, elle sursaute et jouit dans le même temps.
    
    Je me retire, l’agenouille, la force, si peu, à me sucer, là juste derrière cette porte, un homme cogne toujours dessus. Maman est comme folle, elle suce comme si cela devait lui sauver la vie. Dans un geste lent, je fais comme si j’ouvrais cette porte. Elle frémit encore, redoublant de vigueur sur mon sexe, sa main sur la mienne pour m’empêcher. Je jouis enfin, bien dans cette bouche si merveilleuse. Je ...
    ... la relève, ajuste ses vêtements, cette méchante mèche qui descend sur le coin de l’œil, son œil. Je sors le premier, elle s’enferme dans les w.c. pour dame. L’homme me regarde sortir, l’air méprisant, qu’importe, c’est juste un jaloux de plus sur cette terre, rien de grave en somme.
    
    À la table, je paie nos boissons, me prépare au départ quand elle arrive en riant à ne plus pouvoir mettre un pied devant l’autre. À mon oreille, entre deux éclats de rire, elle me glisse que l’homme l’a traitée de salope, et elle, en retour, de gros jaloux. Main dans la main, nous rentrons, plus amoureux l’un de l’autre que jamais.
    
    À peine la porte refermée à double tour, je recommence comme dans ces w.c. Je me montre plus sauvage encore, presque violent. Dans un souffle, elle m’avoue aimer ma violence qu’elle décrit comme encore presque trop douce. Je claque ses fesses, elle gémit, mordille mon oreille. Cette femme se libère de tout et j’aime. Ses chaînes, ses obstacles tombent à même le sol, sans un bruit si ce n’est celui de cet orgasme qui se profile dans le très fond de son corps merveilleux. Sur le sol, je la retrousse, la besogne vulgairement, la retourne, l’encule sans presque la préparer. Elle me hurle d’y aller plus fort, je donne tout, je veux qu’elle jouisse et elle jouit si vite que je ne pensais pas cela possible chez une femme. Épuisés, c’est ce que nous sommes. Je m’allonge près de son corps défait. Plus tendrement, plus amoureusement, nous nous embrassons.
    
    — Tu voudrais ...
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