Paroles d'auteurs - 2
Datte: 11/03/2019,
Catégories:
méthode,
nonéro,
Auteur: f6xzb23, Source: Revebebe
... grandes lignes, ça vient la nuit, très vite. »
« Le plus souvent, je crée le scénar bien au chaud au creux de mon lit durant mes nuits d’insomnies. »
« Je suis lente, j’imagine d’abord un scénario souvent la nuit en m’endormant ou lors de moments où mon esprit n’est pas occupé par quelque chose. »
« Il m’arrive de penser à des scénarios possibles, pendant mes éventuelles insomnies. »
« Lorsque je me mets au clavier, l’histoire est déjà bouclée, reste plus qu’à trouver des mots… et c’est pas le plus facile ! »
« Ensuite je l’enjolive ou lui donne la fin que j’aurais aimée. Parfois il me suffit d’une heure ou deux, corrections comprises, parfois trois ou quatre fois plus. Mes textes sont en général assez courts. La nuit, je dors !! »
« J’écris plutôt assez vite, mais les histoires sont déjà dans ma tête depuis longtemps. En général, si j’écris un truc dans lequel je m’investis, je prends du temps pour écrire le scénario, les détails de l’histoire. Ensuite, j’écris les choses comme je les vois, comme je les ressens, comme je les envie pour l’ambiance en suivant cette trame que j’ai écrite auparavant.
J’écris d’un seul coup, plusieurs pages souvent ; ensuite seulement, je relis tout ce que je viens d’écrire. Je n’y retouche pas tant que ça, quasiment seulement pour les fautes, répétitions, ou lourdeurs à la lecture.
Ensuite, je laisse reposer un bon moment (parfois plusieurs mois) et seulement à cet instant, je relis très précisément. Mais encore ...
... une fois, je ne reprends pas par "petites touches". Si je reprends, ce sont des passages entiers, assez longs. J’ai tendance à croire que la fluidité à la lecture tout autant que l’ambiance risquent d’être compromises si je retouche par bribes.
Et c’est encore plus flagrant pour les "situations" ou le "burlesque".
Je ne me relève pas la nuit, ou si c’est arrivé, c’est très rarement. En revanche, j’aime être au calme pour écrire ; ce qui implique parfois des heures de coucher vraiment tardives. »
« Les nouvelles, je les écris très rapidement, douze heures environ. Je relis le lendemain, j’envoie pour correction et hop, c’est terminé. Ma série a été plus longue. J’écris en continu, parfois sur plusieurs jours, totalement isolée, avec de la musique à fond. Tant que je n’ai pas terminé ma partie, j’y reste, même si je me couche à 6h du matin. Si je me mets à mon clavier, c’est que je sais déjà ce que je vais écrire. Je réfléchis beaucoup en marchant. »
« J’écris surtout le soir et la nuit. Vite, et ne me relis pas trop. Mon but est de passer des émotions, pas de composer des figures de style. J’écris beaucoup sous inspiration musicale ou après avoir lu un bouquin intéressant. »
« En règle générale, j’écris un premier texte (ou un premier début de texte) d’une traite, en m’arrêtant le moins possible. Malheureusement je ne peux pas écrire plus vite que mes doigts, ça c’est un réel problème et une perte de temps. »
« Je ne me lève pas la nuit, je reste éveillé. ...