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L'Homme de la forêt (2/2)
Datte: 10/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Thasm, Source: Hds
... mon cul n'avait pas grande expérience des grosses queues. Ses requêtes s'avéraient un peu plus compliquées physiquement mais m'amenaient un plaisir bien plus grand. Je me sentais stimulé partout et profondément. Après avoir frôlé l'éjaculation une nouvelle fois, il me fit changer de sens et je lui tournais désormais le dos. Il dictait la cadence et je me soumettais à la volonté de mon baiseur. Je n'avais plus tellement de souffle pour crier comme au début de notre coït. Pourtant, je ressentais intensément chaque mouvement de sa queue en moi. A certains moment, je réussissais péniblement à lui dire tout mon plaisir, à lui signifier que sa queue au fond de mon cul me comblait. Les positions s'enchaînèrent et je n'en pouvais plus. Alors qu'il me baisait debout contre un mur, je lui dis "S'il te plait, fais-moi jouir j'en peux plus, s't'eu plait". Il me fit basculer sur le lit en levrette et ramena mon torse vers le sien. Je sentis son gland proéminent appuyer sur ma prostate alors qu'il me donna un baiser fougueux. Ses mains parcouraient mes hanches, ma gorge et en quelques puissants coups de reins, je sentis mon rythme cardiaque et mon souffle s'emballer une nouvelle fois. Je craignais une énième frustration mais mes encouragements ne semblaient pas le freiner, bien au contraire. "Encore ! Ouuiii !! Ah comme ça !! Encoooore !!! Heeeiiinn putaaiiiiinn ouaiisss" Ses grognements se faisaient aussi plus rapprochés et je sentais la fin pour nous deux. Je commençais à ...
... perdre notion de tout ce qui se trouvait autour de nous à ce moment là. Mes râles se faisaient l'écho de ses puissants coups de bite et mon visage se para d'un immense sourire lorsque mon sexe évacua une quantité impressionnante de sperme sur le lit suite à l'orgasme. Mes jambes étaient pleines de spasmes, mes bras et mon torse aussi. Je semblais possédé. J'avais tellement espéré cela et il m'avait tellement frustré que mes testicules étaient devenues de véritables cocottes minutes. Lorsque j'exploserai, j'exploserai en masse et le lit allait déguster. Mon abandon total et soudain de moi-même avait été si intense que les lumières de la pièce me semblaient bien trop puissants. J'avais fermé les yeux si fort que j'en avais les larmes aux yeux. Sa queue m'avait fait pleurer de bonheur et mon plaisir avait été si fort qu'au moment où je reprenais conscience, je n'avais pas fait attention que mon quinqua venait lui aussi de jouir en moi. Je ne sentais plus ses doigts pétrir mon torse et mes hanches, ni même son obélisque décharger tout son désir. Epuisé, je m'effrondrais, le corps encore parcouru de spasmes et de tremblements. L'orgasme en lui-même fut suivi par de longues minutes de plaisir silencieux et planant. Tout mon corps s'abandonnait, comme celui de mon homme de la forêt. Après avoir fait une belle sieste post-coit en compagnie de mon partenaire, nous firent connaissance de nos intellects respectifs et une chose était évidente, c'était qu'il allait me revoir très ...