Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... seins.
Mais ma maîtresse a aussi envie de quelque chose de plus fort. Elle se redresse et commence ses montées et descentes sur mon pieu. Je ne suis plus qu’un instrument. Un instrument hypersensible qui gonfle et durcit encore comme si le cul d’Alexis aspirait ma bite.
Les rôles sont inversés. Anne d’actrice principale est devenue spectatrice. J’espère qu’elle a autant de plaisir que moi à voir son conjoint baiser avec une autre. Elle aussi, semble fascinée par ma queue sur laquelle ma maîtresse se baise. Mais elle est aussi attirée par ces choses qui tapent sur mon ventre à chaque fois qu’Alexis vient s’enchâsser à fond. Ses boules et son sexe viennent me toucher, donnant une impression étonnante mais pas désagréable. C’est étrange, surréaliste de penser que ce cul est pris entre deux paires de couilles.
Anne tend sa main pour s’emparer de ce qui la ramonait il y a moins d’une heure. Elle entreprend une branlette. Il ne faut pas longtemps pour que la bite réagisse. Vraiment Alexis est une perle. On pourrait l’appeler « Au bonheur des Dames, au service des Messieurs ».
Il apprécie, le coquin. Son petit trou occupé, sa bite entre de bonnes mains.
Non, excusez-moi, pas entre de bonnes mains, mais entre de bonnes lèvres. Anne est décidemment une salope insatiable au service de la première queue qui se présente.
Un instant je me demande si elle m’a vraiment été fidèle pendant toutes ces années et si les pères ne laissaient pas autre chose que leur gamin. Les ...
... mères ! Et pourquoi pas les mères ? Mon imagination me lance des flashes : Anne suçant un père, pendant qu’une mère lui bouffe le minou. Mieux, Anne prise par deux pères pendant que la marmaille dort.
Ces fantasmes ridicules et improbables, le cerveau n’est-il pas le premier des organes sexuels, participent à me donner du plaisir. Maintenant la tête d’Anne me cache tout. Je n’ai que ma queue pour me conter ce qui se passe. Une queue sur laquelle Alexis se ramone le cul avec délice. Une autre queue, la sienne, qui disparaît entre les lèvres de ma femme et, je sais de quoi je parle, doit lui donner du plaisir.
Je jouis. Sans prévenir, perdu dans mes pensées érotiques, ma semence jaillit. Des flots, oui des flots de crème que tout ce que j’ai vu, que tout ce que j’ai vécu, a secrété au plus profond de moi. Le cul d’Alexis doit être inondé et je sens bien que ma liqueur participe à sa propre jouissance.
Un instant il s’immobilise, puis avec cette voix inégalable, il rugit.
— Oui, oui, inonde-moi la chatte.
La chatte ? Alexis est dans son monde. Son monde de femme, où l’homme qui le possède ne peut que jouir dans sa féminité.
Je m’en fou ! Tout ce qui compte pour moi ces sont les flots que je ne soupçonnais même pas et qui continuent de pulser, jet après jet, mon karcher à moi.
Je me calme. L’homme n’aspire qu’au repos après l’éjaculation.
Alexis aussi arrête de s’empaler sur moi. Seule Anne s’active toujours. Maintenant c’est sa tête qui bouge. Comme un ...