Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... niveau du reste. Moi, je suis impatient de savoir. Savoir, enfin, qui de l’homme ou de la femme se cache derrière.
Le suspense est intense et, maso, je le fais durer le plus longtemps possible.
Voilà, tout est là. La vérité est toute nue. Chatte ou Verge ?
Verge. Mais oui, verge. Mais verge flétrie, écrasée, plissée, coincée entre tissu et cuisses. Jean avait raison. Mais pour l’instant ce n’est pas le gourdin que son copain a décrit.
Ma femme semble à la fois enjouée et inquiète. Elle se demande sûrement comment je vais réagir de cette découverte. Bien sûr, elle ignore que je savais. Mais aussi, elle a un petit sourire aux lèvres dont la traduction est évidente : « Surprise ! Surprise ! Tel est pris qui croyait prendre ! »
Ma seule réponse est de tendre ma main vers la verge endormie, pour l’instant masse informe de chair. Délicatement je soulève le sexe plissé pour découvrir les deux bourses ensommeillées. La tige, doucement posée sur le pubis, n’est pas si petite. Le gland est totalement caché par sa protection de peau qui se termine par une sorte d’excroissance avec un orifice, tel la cheminée d’un volcan.
Si je suis surpris de découvrir ce sexe, c’est uniquement parce qu’il est totalement au repos. Peut-être que, de « l’homme », il ne reste que son attribut ! La preuve est, que ce que nous venons de faire avant, ne semble pas l’avoir excité. Pourtant j’ai entendu de mes propres oreilles Alexis féliciter ma femme pour sa fellation et le copain de Jean ...
... affirmer la réalité de la queue.
Les bourses aussi respirent, se détachant de la peau des cuisses. L’enveloppe paraît délicate, humide de transpiration, d’un rose enfantin. Je ne peux me retenir de glisser ma main dessous pour leur servir de réceptacle.
— Mon Chéri. Toi aussi tu les trouves belles !
C’est Anne qui me susurre à l’oreille, totalement rassurée.
Je ne réponds pas. J’assiste à la magie, pourtant si commune, d’une verge qui frémit. Précautionneusement, maintenant ma main malaxe le paquet de chair, où je découvre les deux noyaux bien séparés. Mon doigt flatte une couille, puis l’autre, s’aventurant parfois à la base pour y découvrir le petit trou. Mais ce n’est qu’une exploration rapide et je remonte.
Maintenant je vois nettement la verge ramper sur le pubis, pour monter à l’assaut du nombril. Que c’est beau un sexe d’homme qui se déploie. Bien sûr, je connais le mien et même d’autres en vidéo. Mais ici tout paraît différent. Ma position bien sûr, adorateur à genoux, le visage qui regarde de bas en haut, vision totalement inversée de l’habitude.
Elle continue de ramper. L’arbre grossit aussi. Maintenant la peau est tendue et le gland apparaît, comme un bourgeon qui s’extirpe de sa gangue de feuilles. Mais aussi cette impression de force, de vie palpitante qui fait que la queue frémit.
Une main vient la saisir à pleine hampe. Une main manucurée, les ongles vernis qui tranchent de leur bleu brillant sur la peau rose. La queue est maintenant relevée ...