Candaulisme : un, deux, trois et demi
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
cocus,
hotel,
Transexuels
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... frottent sans pudeur. Juste quelques regards bienveillants.
Je ne cesse de me poser des questions. Alexis est pour moi une inconnue. Est-ce qu’elle bande au contact du corps de ma femme ? Aussi, pourquoi a-t-elle accepté si facilement mon offre ? La partie femme a-t-elle envie qu’un homme la possède ? Tout est mystère !
Je vais vers elles.
— Je monte dans la chambre. Ne soyez pas trop longues.
Si Anne avait encore un doute, ma remarque la balaie.
Moi aussi, je suis bouillant. Je rêve de tant de choses. Je me pose tant de questions.
Elles ne répondent pas, mais leur regard est une promesse.
J’ai juste le temps de préparer un éclairage tamisé, de mettre un peu de musique et de sortir la bouteille de champagne que la porte de la chambre s’ouvre.
C’est bon signe. Elles aussi doivent être bien chaudes. Dès leur arrivée, mon sexe tressaille.
Tous trois nous trinquons silencieusement.
Je ne sais pas à quoi elles peuvent penser, mais moi, c’est un « ENFIN » que mon cerveau hurle.
Anne descend son verre d’une traite et me tend sa coupe pour que je la remplisse. Je fais de même et, sous le regard d’Alexis, nous trinquons à nouveau, comme une sorte de pacte muet.
La deuxième coupe bue, Anne me pousse vers le lit pour m’y faire asseoir.
— Regarde mon Chéri. Et elle me laisse.
Alors j’assiste au plus beau des spectacles. L’effeuillage sensuel de ces deux femmes est d’un érotisme à la fois délicat et fort.
Il suffit d’un mouvement pour qu’Anne ...
... fasse tomber la robe d’Alexis. Elle apparaît presque nue, car comme sa robe le laissait supposer, le soutien-gorge n’est pas de mise. D’ailleurs à quoi servirait ce bout de tissu pour cette poitrine parfaite, faisant fi de la pesanteur. Deux lobes parfaits, symétriques, dont les pointes érigées se placent parfaitement au centre et à l’horizontale.
Je comprends l’attirance d’Anne pour ce chef d’œuvre que la nature ne saurait créer mais qu’un chirurgien esthète a greffé sur ce corps d’homme.
D’homme ? Encore rien ne peut le faire penser. La petite culotte, rouge, comme la robe, dégage parfaitement les fesses mais cache plus le pubis. Je ne peux m’empêcher de regarder pour chercher l’indice masculin, bien que, d’après le copain de Jean, cet indice serait digne de reconnaissance.
Mais non, rien, je ne vois rien et pourtant Alexis se charge actuellement de déshabiller ma femme. Quelle délicatesse ! Quelle façon de détacher chaque bouton, ouvrir le chemisier, relâcher ses seins de leur carcan ! J’aime la façon dont Alexis embrasse la poitrine d’Anne, poitrine bien plus forte et surtout plus naturelle qui pourrait pâtir de la comparaison mais qu’Alexis suce avec avidité.
Les deux femmes font excès de zèle.
C’est à celle qui sera la plus entreprenante. Baisers, caresses, mains qui s’égarent…
Je bande de ce spectacle. Quand je pense que ce n’est que le début !
Alexis pousse à son tour ma femme vers le lit. Elle l’allonge juste à côté de moi. Dans un geste d’une ...