1. Lucas chez sa cousine (5)


    Datte: 08/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... pour la poser, puis il avait placé les deux cadenas qui la maintenaient en place. Cadenas dont il n’avait pas la clé, bien sûr. Le gode en acier bien enfoncé dans les reins, il se tortillait sur ses genoux douloureux sans oser se lever. Quand sa cousine entra, tirant son bagage à roulettes, il baissa la tête humblement.
    
    — Alors, petite idiote, on a quelque chose à se faire pardonner ? On s’est caressé alors que c’est interdit, c’est ça ?
    
    — Oui, pardon Amélie. Je n’ai pas pu m’en empêcher, je suis désolé.
    
    — Alors tu as mis la cage en te disant que je passerais l’éponge. Mais tu as " oublié " le poids sur tes misérables couilles, et la sonde aussi. Je vais commencer par ça.
    
    — S’il te plaît, non ! La sonde irrite trop, j’ai mal quand je fais pipi, pendant deux jours au moins. Et le poids, c’est dur, je ne le supporte pas.
    
    — Il te fallait y penser avant, idiote ! Maintenant je suis obligée de te punir sévèrement. Tu comprends ça ?
    
    — Oui, bien sûr. Mais ça fait trop mal.
    
    — Tu ...
    ... dormiras avec, cette nuit. Je t’enlèverai tout juste avant d’aller en cours. Et demain soir tu as intérêt à être docile.
    
    Une heure plus tard, Lucas préparait le repas du soir en pleurant à chaudes larmes. Amélie n’avait pas été tendre avec lui, car après avoir lesté ses testicules avec le ball stretcher et avoir enfoncé une sonde longue de dix centimètres dans son urètre, elle lui avait administré vingt solides coups de ceinture sur les fesses. Le jeune homme dut servir sa cousine sans avoir le droit de manger, puis elle l’envoya au coin : à genoux et les mains sur la tête, bien cambré pour montrer le gode d’acier fiché dans ses reins.
    
    — J’en ai assez de tes jérémiades, demain je vais acheter un gros bâillon pour avoir la paix. Tu n’arrêtes pas de te plaindre alors que je me donne la peine de t’éduquer, tu es un ingrat.
    
    — Pardonne-moi, Amélie, mais j’ai eu trop mal quand tu m’as battue.
    
    — Quand je te punis, c’est pour que tu aies mal. Et puis je parie que tu bandes.
    
    — J’ai honte. 
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