LA PUNITION
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Mature,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... ne peux pas laisser votre bonhomme vous traitez de la sorte ».
Alors, d’un ton très sur, elle m’avoue que ce n’est pas son « bonhomme », mais son maître, et que si son maître décidait de la punir c’est qu’elle le méritait. Je suis effaré. J’ai lu beaucoup de choses sur ces rapports de soumission à un maître, mais là… Ma curiosité me pousse à lui demander ce qu’elle a bien pu faire pour mériter un tel châtiment. Ses grands yeux s’illuminent, ses larmes disparaissent et un sourire vient illuminer son visage. Apparemment, ma question l’amuse, et elle s’empresse de me répondre, de sa petite voix douce. La semaine passée, elle avait refusé de s’offrir à un inconnu, et que cela avait contrarié les plans de son maître pour le week-end. Je me gratte la tête, je ne comprends rien. Pourquoi l’attacher comme cela, ici, seule ? Quel plaisir en retire t’il ?
« A cause de mon refus pour un seul homme, il m’offre à la forêt, à la nature, au monde entier. Et puis je ne suis pas seule, la preuve, vous êtes là ».
J’ai l’impression de comprendre ce qu’a pu ressentir Alice au pays des merveilles. Il ne manque plus que le lapin blanc. Je balbutie deux ou trois phrases qui ne veulent strictement rien dire, puis je souffle un grand coup et tente de retrouver mes esprits. Je lève les bras vers les cordelettes.
« NON !s’il vous plait, non ! Si vous voulez m’aider, ne me détachez pas. S’il vous plait…S’il vous plait ».
J’éloigne mes mains des liens, et de nouveau je me gratte la tête. ...
... Comment veut elle que je l’aide en la laissant dans cette situation ? Alors, penchant sa tête en arrière, elle ferme les paupières et me dit avec une extrême douceur.
« J’aimerais sentir vos mains sur mon visage ».
Sa peau est douce, ses joues son fraîches, à moins que ce ne soit mes mains qui aient la fièvre. Ce contact physique réveil mon cerveau à la réalité de cette situation. J’ai peur de comprendre. Peur de comprendre ce que l’ « ogre » désire, peur de comprendre se qu’elle est prête à accepter pour obtenir le pardon. Je me surprends à lui caresser les cheveux et le front. Mon pouce passe doucement sur ses lèvres. Elle entrouvre légèrement la bouche et laisse sortir un souffle de contentement. Je suis perdu. Je suis comme ces marins qui ont succombés aux chants des sirènes.
Je passe mes bras autour d’elle et je l’embrasse avec délectation. Sa bouche me dévore, sa langue me fouille. Mes mains reviennent sur son visage, descendent sur son cou, ses épaules, et prennent possession de ses seins. Ils sont durs comme des pamplemousses murs. Mes pouces, bientôt remplacés par ma bouche, titillent ses tétons. Je les suce, les mordille, les aspire. La belle gémit doucement. Mon visage et mes mains descendent encore. Je caresse sa taille, ses hanches. Ma bouche embrasse son ventre secoué par des spasmes de plaisir, ma langue rencontre son nombril, et dessine son contour en salivant.
J’ai perdu le contrôle et je sais que quoi qu’il arrive j’irai au bout de ce délire. Je ...